Résumé : Jean McClellan est docteure en neurosciences. Elle a passé sa vie dans un laboratoire de recherches, loin des mouvements protestataires qui ont enflammé son pays. Mais, désormais, même si elle le voulait, impossible de s’exprimer : comme toutes les femmes, elle est condamnée à un silence forcé, limitée à un quota de 100 mots par jour. En effet, le nouveau gouvernement en place, constitué d’un groupe fondamentaliste, a décidé d’abattre la figure de la femme moderne. Pourtant, quand le frère du Président fait une attaque, Jean est appelée à la rescousse. La récompense ? La possibilité de s’affranchir – et sa fille avec elle – de son quota de mots. Mais ce qu’elle va découvrir alors qu’elle recouvre la parole pourrait bien la laisser définitivement sans voix…

Edition : Audible

 

Mon Avis : Vox est un roman qui a énormément fait parler de lui, profitant de la vague de popularité suite à La Servante Écarlate (et clairement annoncé par l’éditeur), le roman a connu un certain succès. J’ai ainsi vu passer de nombreux avis dessus en Anglais qui ont fait que je me suis dis qu’un jour je me laisserai tenter par ce dernier. Le résumé est en soit intéressant, mais j’avais un peu peur de tomber dans un redite du roman de Atwood. Profitant, il y a quelques mois, de nombreux déplacements, j’ai décidé de me laisser tenter par ce roman en audiobook. Concernant la narration de Gaëlle Savary je dois admettre que je suis un peu sur la réserve. Certes elle arrive à offrir au roman cette colère présente dans le roman. Pour autant j’ai trouvé qu’à chaque fois que la narratrice essaye de « jouer » un accent, elle offrait quelque-chose limite de plus dérangeant qu’entraînant. Certes j’ai connu pire, mais il vaut mieux parfois ne pas tenter de faire d’accent que d’aboutir à cette impression frustrante.