Résumé : Our universe is ruled by physics and faster than light travel is not possible — until the discovery of The Flow, an extra-dimensional field we can access at certain points in space-time that transport us to other worlds, around other stars.
Humanity flows away from Earth, into space, and in time forgets our home world and creates a new empire, the Interdependency, whose ethos requires that no one human outpost can survive without the others. It’s a hedge against interstellar war — and a system of control for the rulers of the empire.
The Flow is eternal — but it is not static. Just as a river changes course, The Flow changes as well, cutting off worlds from the rest of humanity. When it’s discovered that The Flow is moving, possibly cutting off all human worlds from faster than light travel forever, three individuals — a scientist, a starship captain and the Empress of the Interdependency — are in a race against time to discover what, if anything, can be salvaged from an interstellar empire on the brink of collapse.
Edition : Tor
Mon Avis : Je pense que l’on pourrait qualifier l’année 2018 sur le blog d’année John Scalzi. Fin de l’année dernière je n’avais encore rien lu de l’auteur, aujourd’hui j’en suis à mon troisième livre lu. Alors il est à noter que cette lecture entre plus dans mon challenge personnel concernant la lecture de l’ensemble des romans nominés aux Hugo Awards. Si cette nouvelle série de l’auteur n’avait pas été sélectionnée, je pense que j’aurai d’abord terminé ma découverte du cycle du Vieil Homme et la Guerre, dont le premier tome m’avait bien accroché (ma chronique ici), et puis parce que j’aime bien terminer la série d’un auteur avant d’en commencer une autre. Concernant la couverture, illustrée par Nicolas « Sparth » Bouvier, je la trouve très sympathique et qui colle bien à l’univers de l’auteur. Il est aussi à noter qu’en plus d’être nominé au Hugo Awards ce livre a gagné il y a peu le prix Locus 2018 dans la catégorie roman de science-fiction.