Résumé : Quand Dmitry Alexeïevitch, traducteur désargenté, insiste auprès de son agence pour obtenir un nouveau contrat, il ne se doute pas que sa vie en sera bouleversée. Le traducteur en charge du premier chapitre ne donnant plus de nouvelles, c’est un étrange texte qui lui échoit : le récit d’une expédition dans les forêts inexplorées du Yucatán au XVIe siècle, armée par le prêtre franciscain Diego de Landa. Et les chapitres lui en sont remis au compte-gouttes par un mystérieux commanditaire. Aussi, quand l’employé de l’agence est sauvagement assassiné et que les périls relatés dans le document s’immiscent dans son quotidien, Dmitry Alexeïevitch prend peur. Dans les ombres du passé, les dieux et les démons mayas se sont-ils acharnés à protéger un savoir interdit ? À moins, bien entendu, que le manuscrit espagnol ne lui ait fait perdre la raison. Alors que le monde autour de lui est ravagé par des ouragans, des séismes et des tsunamis, le temps est compté pour découvrir la vérité.
Edition : L’Atalante
Mon Avis : Dmitry Glukhovsky ne m’est pas un auteur inconnu, ayant déjà lu deux de ces romans. Je l’ai ainsi d’abord découvert avec Métro 2033 qui m’avait offert un bon moment de lecture avec un récit post-apocalyptique efficace et percutant (ma chronique ici). Ensuite, j’ai lu de l’auteur Futu.re que j’avais trouvé très bon avec sa vision de l’avenir proposée et les questions qu’il venait soulever, avec un protagoniste, anti-héros assez déroutant (ma chronique là). Concernant Sumerki, par contre, il a sans raison particulière un peu trainé dans ma PAL. Je trouvais le résumé différent des autres écrits de l’auteur et j’ai mis un peu de temps avant de me laisser tenter à le découvrir. Concernant la couverture, illustrée par Raphaël Defossez, je la trouve très sympathique.