Étiquette : science-fiction Page 15 of 48

Le Meilleur des Mondes Possibles – Karen Lord

Résumé : Autrefois la race la plus avancée de la galaxie, les Sadiris ont été exterminés et leur monde natal détruit. Pour préserver leur espèce de l’extinction, les derniers survivants, en majorité des mâles, doivent s’organiser. Sur Cygnus Beta, des conseillers sadiris partent à la recherche des descendants d’une ancienne diaspora de leur peuple, dans l’espoir de trouver des femelles génétiquement compatibles afin de sauvegarder la société et le mode de vie sadiris.
Commence alors pour les derniers Sadiris une quête désespérée qui les amènera à percer les secrets de leur passé. Mais la survie de l’espèce passera par l’acceptation de leur condition, la refonte de leur société et ultimement, la recherche de l’amour…

Edition : Eclipse Panini Books

 

Mon Avis : La maison d’édition Eclipse, avant de plonger dans une surdose de Zombie puis de disparaitre complètement des radars, était une maison d’édition que j’appréciais beaucoup. Elle possédait selon moi une ligne éditoriale très intéressante, qui prenait des risques dans ses choix de publications. Certes il m’est parfois arrivé de ne pas accrocher à certains de leurs romans, mais ils ont aussi su proposer des romans différents et passionnants. Le Meilleur des Mondes Possibles est ainsi le dernier roman de cette maison d’édition qui traînait dans ma PAL, si je ne me trompe pas, il fallait bien le sortir un jour. Concernant la couverture, j’avoue que pour moi, elle me parait très simple et manque quand même un peu d’un petit quelque-chose.

Nuit Mère – Kurt Vonnegut

Résumé : “Je suis américain de naissance, nazi de réputation et apatride par inclination.” Ainsi s’ouvrent les confessions de Howard W. Campbell Jr. qui attend d’être jugé pour crimes de guerre dans une cellule de Jérusalem. Ce dramaturge à succès exilé en Allemagne est connu pour avoir été le propagandiste de radio le plus zélé du régime nazi. Mais il clame aujourd’hui son innocence et prétend n’avoir été qu’un agent infiltré au service des Alliés. Il lui reste désormais peu de temps pour se disculper et sauver sa peau.

Edition : Gallmeister

 

Mon Avis : J’avoue, avant de me plonger dans ce récit, je n’avais lu aucun écrit de l’auteur. Il s’agit donc de ma première découverte de son univers. Kurt Vonnegut est pourtant, si je ne me trompe pas, un écrivain très connu outre-manche, mais il n’a pas l’air d’avoir eu le même succès en France. Pour ma part, je me suis surtout laissé convaincre par le quatrième de couverture qui offrait un résumé intrigant dans les thématiques qu’il soulève. A noter une couverture, qui, je trouve, colle bien au récit.

Célestopol – Emmanuel Chastellière

Résumé : Célestopol, la cité lunaire, la perle de l’Empire Russe, la ville de toutes les démesures, où toutes les technologies de ce XXème siècle naissant se combinent pour créer la métropole ultime. Célestopol, où à chaque coin de rue, la magnificence de ses merveilles architecturales rivalise avec l’éblouissement que provoquent ses automates affectés à mille et une tâches. Célestopol et ses canaux de sélénium dont la brume mordorée baigne en permanence la lumière des réverbères. Célestopol, la ville sous dôme, le défi ultime de l’humanité lancé aux étoiles.
Célestopol la rebelle, l’insoumise. Célestopol, où chaque habitant porte en lui une colère, un amour, une tristesse, une vengeance. Célestopol et son duc extravagant, aux pouvoirs sans limites, dont la simple présence est une insulte adressée à chaque instant à l’autorité de la Tsarine. Célestopol, en quête de liberté et d’émancipation, loin d’une Terre qui menace de sombrer dans les flammes.
Célestopol, la ville qui a arraché un peu de l’âme de toutes les Russies et l’a posé sur la Lune.

Édition : Les Éditions de l’Instant

 

Mon Avis : Il y a un an environ, je me suis laissé tenter par le premier roman d’Emmanuel Chastellière : Le Village. J’ai passé un très bon moment de lecture avec ce livre, offrant un récit étrange, efficace, maîtrisé et saupoudré d’une bonne dose de fantastique qui apportait un vrai plus à l’ensemble. C’est donc sans surprise que, quand j’ai appris que l’auteur publiait un recueil de nouvelles, je me suis laissé facilement tenter. J’ai donc profité du passage de l’auteur lors des dernières Imaginales, que je suis reparti avec mon exemplaire dédicacé sous le bras. Concernant la couverture, illustrée par Marc Simonetti, je la trouve franchement réussi et superbe. À noter que ce recueil a été lu en Lecture Commune avec ma compagne de LC Marie Juliet.

The Machineries of Empire Book 2, Raven Stratagem – Yoon Ha Lee

Résumé : War. Heresy. Madness.
Shuos Jedao is unleashed. The long-dead general, preserved with exotic technologies and resurrected by the hexarchate to put down a heretical insurrection, has possessed the body of gifted young captain Kel Cheris.
Now, General Kel Khiruev’s fleet, racing to the Severed March to stop a fresh incursion by the enemy Hafn, has fallen under Jedao’s sway. Only Khiruev’s aide, Lieutenant Colonel Kel Brezan, appears able to shake off the influence of the brilliant but psychotic Jedao.
The rogue general seems intent on defending the hexarchate, but can Khiruev – or Brezan – trust him? For that matter, can they trust Kel Command, or will their own rulers wipe out the whole swarm to destroy one man?

Edition : Solaris

 

Mon Avis : Il y a quelques mois, lors de mon challenge personnel concernant les prix Hugo, j’ai découvert cette série de SF militaire qui m’avait rapidement accroché face à l’originalité de son monde et à ses personnages soignés et qui ne manquaient pas d’attraits (ma chronique ici). J’avais ainsi hâte de savoir comment l’auteur allait continuer son récit et comment il allait gérer les évolutions liées aux révélations de la fin de Ninefox Gambit et c’est donc sans surprise que je me suis rapidement laissé tenter par ce second tome. Concernant l’illustration de la couverture, je la trouve très sympathique et réussie, donnant envie de se lancer dans la lecture du roman je trouve. Par contre, il y a de forts risques de trouver des SPOILER sur la fin du premier tome dans ma chronique.

24 Vues du Mont Fuji, par Hokusai – Roger Zelazny

Résumé : Son époux est mort. Ou disons qu’en tout cas, il n’est plus en vie… Pour Mari, le temps du deuil est venu. Un double deuil… Armée d’un livre, Les Vues du mont Fuji, par Hokusai, elle se met dans les traces du célèbre peintre japonais afin de retrouver vingt-quatre des emplacements depuis lesquels l’artiste a représenté le volcan emblématique — autant de tableaux reproduits dans l’ouvrage. Un pèlerinage immersif, contemplatif, au cœur des ressorts symboliques de cette culture si particulière, un retour sur soi et son passé. Car il lui faut comprendre… et se préparer. Comprendre comment tout cela est arrivé. Se préparer à l’ultime confrontation. Car si son époux n’est plus en vie, il n’en est pourtant pas moins présent… Là. Quelque part. Dans un ailleurs digital. Omnipotent. Infrangible. Divin, pour ainsi dire…

Edition : Le Bélial’

 

Mon Avis : Allez hop, je termine ma plongée dans la collection Une Heure Lumière de chez Le Bélial’ pour 2017, puisque cette novella de Roger Zelazny est la dernière histoire, publiée cette année dans cette collection, que je n’ai pas chroniqué. Pour connaître les prochaines publications, il faudra attendre 2018, mais je m’égare. J’avoue avoir rapidement été intrigué par la résumé de ce texte que je trouvais accrocheur, mais aussi, comme souvent, par la couverture, illustrée par Aurélien Police, qui est franchement magnifique. Il est à noter que cette nouvelle a été publiée en VO en 1985 et qu’elle a gagné le Prix Hugo de la novella en 1986.

Le Sultan des Nuages – Geoffrey A. Landis

Résumé : L’humanité a colonisé le système solaire au bénéfice de consortiums privés omnipotents régnant sur les transports spatiaux. Et ce jusqu’à la plus infernale des planètes, Vénus, dans l’atmosphère létale de laquelle flottent de stupéfiantes cités volantes, véritables miracles de technologie high tech. Plusieurs milliers d’entre elles sont sous la coupe d’un seul et même individu, Carlos Fernando Delacroix Ortega de la Jolla y Nordwald-Gruenbaum, le sultan des nuages, qui n’entrera en pleine possession de son héritage qu’une fois marié, et dont l’immense pouvoir attire toutes les convoitises. Pour David Tinkerman et le Dr Léa Hamakawa, scientifiques récemment arrivés de Mars en vue d’une expertise, les forces souterraines à l’œuvre autour du jeune satrape vont vite s’avérer plus mortelles que Vénus elle-même…

Edition : Le Bélial’

 

Mon Avis : Je continue ma découverte de la collection Une Heure Lumière du Bélial’ avec cette fois un auteur dont j’ai déjà entendu parler, principalement à travers des sommaires d’anthologies en VO, mais dont je n’avais pourtant encore lu aucun texte. Ce Sultan des Nuages sera donc ma première plongée dans l’univers de Geoffrey A. Landis, puis cela me permet aussi de compléter ma collection dont je n’ai, pour le moment, manquer aucune publication, offrant des textes courts et intéressants. Concernant la couverture, illustrée par Aurélien Police, je la trouve magnifique et elle donne envie de plonger dans le récit. A noter que ce texte a gagné le prix Theodore Sturgeon 2011

Page 15 of 48

© 2010 - 2024 Blog-o-Livre