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The Rig – Roger Levy

Résumé : On a desert planet, two boys meet, sparking a friendship that will change human society forever.
On the windswept world of Bleak, a string of murders lead a writer to a story with unbelievable ramifications.
One man survives the vicious attacks, but is left with a morbid fascination with death; the perfect candidate for the perilous job of working on a rig.
Welcome to the System. Here the concept of a god has been abandoned, and a new faith pervades: AfterLife, a social media platform that allows subscribers a chance at resurrection, based on the votes of other users.
So many Lives, forever interlinked, and one structure at the centre of it all: the rig.

Edition : Titan Books

 

Mon Avis : Avant de me lancer dans la lecture de ce roman, j’avoue je ne connaissais rien de l’auteur. Roger Levy est un auteur de Science-Fiction qui écrit peu, avec seulement quatre romans depuis 2001, et que j’ai découvert un peu par hasard avec ce roman The Rig. En fait j’ai été rapidement intrigué par la couverture, illustrée par Julia Lloyd, et que je trouvais franchement superbe. Je me suis alors penché sur la quatrième de couverture que j’ai trouvé très intrigant et j’ai alors, un peu par coïncidence, vu passer une chronique de ce livre qui a terminé de me convaincre. Il a donc rapidement terminé dans ma PAL et j’ai décidé de lui laisser tout aussi rapidement une chance. Si vous comptez le lire en VO, l’anglais utilisé n’est pas obligatoirement le plus facile et, sans dire non plus qu’il est d’une grande complexité loin de là, il demandera un peu d’adaptation surtout que l’auteur joue avec la langue.

Le Cycle de Rama Tome 1, Rendez-Vous avec Rama – Arthur C. Clarke

Résumé : 2130. Un objet spatial non identifié est localisé dans le système solaire : c’est un cylindre aux proportions extraordinaires – 30 km de long -, et qui se déplace au tiers de la vitesse de la lumière – 100.000 km/h. Il sera baptisé Rama.
La curiosité cède cependant le pas à l’effarement quand l’équipage du vaisseau spatial « Endeavour » parvient à pénétrer dans son habitacle. Car cet « artefact », qui semble n’avoir jamais subi la moindre altération du temps, contient en son sein un véritable monde miniature. Son exploration minutieuse révèle en effet une mer, des reliefs, des routes, des villes… Un univers de silence et de non-vie, où tout semble d’une haute technologie et pourtant vieux de millions d’années ! Rama continue de fendre l’espace… Qui est aux commandes : un robot ? un esprit ?

Edition : Audible

 

Mon Avis : Arthur C. Clarke fait partie des auteurs qui ont d’une certaine façon marqué la Science-Fiction, gagnant de nombreux prix pour ces différents romans et surtout ayant travaillé avec Stanley Kubrick pour adapter 2001 l’Odyssée de l’Espace en parti inspiré de l’une de ses nouvelles. Il fait d’ailleurs partie, selon moi, de cette génération d’auteur qui ont toujours eu à coeur dans leurs textes de mettre la science en avant, avec les avantages et les inconvénients que cela peut proposer. J’ai déjà lu des écrits de l’auteur, il y a plusieurs années maintenant, mais je me suis rendu compte que je n’en avais pas relu, ni lu de nouveaux, depuis la création de ce blog. Il fallait donc remédier à cela et c’est avec Rama, l’un des grands cycles de l’auteur, que j’ai décidé de me lancer. J’ai ainsi découvert ce premier tome en audiobook. Concernant le narrateur, je ne lui enlève en rien à sa prestation convaincante et énergique, mais j’avoue son envie de vouloir offrir une voix à chaque narrateur (accent russe pour un narrateur russe, accent féminin pour une héroïne, …) est parfois légèrement dérangeant. Pour ma part rien de trop bloquant non plus, il faut juste le savoir avant de se lancer dans l’écoute, car cela pourra peut-être en déranger certain. Il est à noter que ce roman a gagné de nombreux prix donc le Locus, le Nebula ou encore le Hugo.

Deus in Machina – John Scalzi

Résumé : « L’heure était venue de fouetter le dieu. Le capitaine Ean Tephe entra dans la chambre divine, un coffret en filigrane laqué dans les mains. Il découvrit un acolyte qui perdait son sang et le dieu à plat ventre sur son disque de fer, les chaînes tendues à bloc. La bouche écrasée contre le métal, le dieu ricanait en se passant la langue sur ses lèvres rougies. Un prêtre se tenait au-dessus de lui, à l’extérieur du cercle de confinement. Deux autres acolytes étaient adossés à la paroi, terrifiés. »Voici le dieu dans la machine.
Vous pouvez dire vos prières…

Edition : L’Atalante

 

Mon Avis : Il y a quelques mois maintenant, je me suis lancé dans la lecture du grand cycle le plus connu de John Scalzi : Le Vieil Homme et la Guerre. Ayant accroché au premier tome (ma chronique ici) j’ai décidé, non pas de me faire une année thématique sur l’auteur, mais de sortir ses différents livres que j’ai de ma bibliothèque. C’est donc comme ça que j’en suis venu à sortir cette novella de ma PAL et de lui laisser une chance. Il faut dire que la couverture, illustrée par Vincent Chong, ainsi que le quatrième de couverture avait quelque chose d’intrigant et qui donnait envie d’en apprendre plus.

Les Océans Stellaires – Loïc Henry

Résumé : Encouragée par ses premiers succès, Luu Ly cherche une nouvelle planète à explorer. Son objectif ? Trouver des Seuils, ces passages interplanétaires cachés au fond des mers, et les vendre à prix d’or à la Fédération ou à ses adversaires, la Ligue et l’Empire. Pourtant, elle est loin d’imaginer les conséquences de sa prochaine exploration !
Psycho-éthologue de la Fédération, Stella est en état d’alerte : une jeune explo vient de faire une découverte majeure. Les bases de l’exploration spatiale pourraient en être bouleversées.
Dans la partie qui s’engage, et dont l’enjeu n’est rien moins que l’avenir de l’humanité, un dirigeant de la Fédération dévoré d’ambition, un généticien avide de vengeance, un couple d’explorateurs mystérieux et deux petits prodiges aux ressources surprenantes vont jouer leur propre partition.
Et si certains d’entre eux partageaient sans le savoir un secret ancien ?

Edition : Scrinéo

 

Mon Avis : Les Océans Stellaires est le second roman de l’auteur Loïc Henry, le premier étant Loar que j’ai découvert il y a quelques années maintenant (ma chronique ici). J’avais passé un très bon moment de lecture justement avec ce roman, offrant une intrigue soignée et intéressante ainsi que quelques bonnes idées bien exploitées. Il était donc logique, lorsque j’ai vu la publication du nouveau livre de l’auteur, que je décide de le faire rapidement entrer dans ma PAL. Il est à noter aussi que ce roman ouvre la collection Space-Opera chez Scrinéo dirigée par Stéphanie Nicot. Concernant la couverture, illustrée par Benjamin Carré, je la trouve plutôt sympathique et qui colle bien au récit.

Spire Tome 1 : Ce Qui Relie – Laurent Genefort

Résumé : Lorsque leur vaisseau s’écrase sur Arrhenius, Lenoor et Hummel découvrent une colonie sous-développée, éloignée des grands axes interstellaires, dédaignée par les lignes principales. Une fois guéris, reconnaissants envers les colons, les deux pilotes repartent.
Mais plus rien n’est comme avant car une idée poursuit désormais Lenoor. Un projet génial autant que dangereux et difficile à mettre en uvre : monter une compagnie de transport interstellaire indépendante !
Ainsi naît la Spire, alliance de rêveurs visionnaires et de casse-cou sans peur, prêts à tout pour relier entre elles les planètes des Confins. Mais son acte de naissance ne s’écrira pas sans heurts : alertées, les grandes compagnies déploieront toute leur puissance pour empêcher son essor. Luttes intestines, ligues et trahisons : un chemin semé d’embûches attend les navis de la Spire, véritables aventuriers des étoiles !

Edition : Critic

 

Mon Avis : Ce cycle Spire n’est pas ma première incursion dans l’univers de Laurent Genefort. J’ai ainsi lu, depuis quelques années, plusieurs de ces romans et nouvelles. A chaque fois soit j’ai été captivé par la richesse du texte, soit j’ai trouvé l’ensemble un peu trop classique, trop simple pour complètement m’emporter. C’est cette ambiguïté qui fait que je continue à découvrir les écrits de l’auteur. J’ai ainsi encore quelques livres de l’auteur dans ma PAL, mais pour cette fois j’ai décidé de laisser une chance à ce premier tome de cette série annoncée comme une trilogie. Concernant la couverture, illustrée par Manchu, je la trouve franchement magnifique.

Utopiales 2017, Anthologie – Collectif

Résumé : Le temps de lire cette anthologie, vous serez parti sur la Lune où survit la dernière colonie humaine après que la Terre s’est retrouvée sous la glace, vous aurez discuté de l’égalité hommes-femmes sur un sujet qui vous surprendra, vous vous serez opposé à un texte sur l’avortement, vous aurez renoué avec la légende arthurienne, vous aurez attendu le retour de l’amour de votre vie, découvert en avantpremière une auteur chinoise, et affronté la cruauté des follets et des gnomes.

Edition : ActuSF

 

Mon Avis : C’est maintenant devenu une tradition depuis quelques années, à chaque fois que je passe dans un festival et qu’il en existe une anthologie associée je repars avec l’édition de l’année et, si possible, dédicacée. Concernant l’anthologie des Utopiales c’est aussi pouvoir se lancer dans une Lecture Commune avec d’autres lectrices et lecteurs. Cette année changement, en plus de MarieJuliet ce recueil a été lu avec Ptitetrolle qui s’est jointe à notre petite « secte ». Sauf que, pour cette fois, je risque d’être le seul à publier mon avis, sauf si mes collègues de LC trouvent de la motivation. Pour cette saison 2017 le thème était le temps et ce livre est composé de 12 nouvelles. Concernant la couverture, illustrée par Laurent Durieux, elle s’avère très sympathique et répond au thème contrairement, comme assez souvent, à une majorité des textes de l’Anthologie. On notera aussi avec étonnement la disparition de la préface qui était pourtant annoncé sur le site de l’éditeur ainsi qu’un petit panel de texte primés dont un prix hugo de la meilleur nouvelle pour Pékin Origami.

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