Résumé : 2901 – Calendrier universel terrestre
Les Éridanis, lointains descendants hermaphrodites des humains, ont entrepris de coloniser la Voie lactée en s’établissant de planète en planète. À bord du Lemnoth, ces posthumains de chair et de métal s’apprêtent à accomplir un nouveau saut interstellaire afin de fonder une autre colonie sur Selckin-2. Parmi eux, Nemrick, de la caste des Ludis, qui a intégré la mission afin de suivre l’amour de sa vie, le Techno Rumack, qui rêve de créer un milieu de vie idéal pour leurs descendants…
3045 – Calendrier universel terrestre
Plus d’un siècle après l’arrivée des Éridanis, de nombreuses cités s’éparpillent sur Selckin-2. Elles sont habitées par les Mikaïs, une race à mi-chemin entre homo habilis et homo sapiens créée par Rumack. Ce sont eux qui ont construit les prodigieux édifices de ces villes pourtant prévues pour des Éridanis.
Takeo habite Nagack, la somptueuse ville qui s’élève sur le flanc du mont Lemnoth. Comme ses congénères, il vénère les « Maîtres », mais ne s’en inquiète pas moins de la progression du Mal de Rumack qui les condamne à sombrer dans la sauvagerie s’ils ne reçoivent pas l’aide des arbres-machines. Pendant que des rumeurs de guerre se propagent dans la ville, Takeo cherche à sauver son grand-père de la régression. Mais une rencontre fortuite avec le fantôme de Rumack fera de lui la pièce maîtresse d’un jeu qui a débuté bien avant sa naissance, celui du Démiurge !
Edition : A Lire
Mon Avis : Lors du festival des Imaginales de l’année dernière (donc celui de 2016), j’ai été fortement intrigué par la couverture de ce roman. L’illustration, réalisée par Gregory Fromenteau, n’arrêtait pas d’attirer mon regard se révélant, je trouve, très réussie et accrocheuse. Je me suis donc arrêté au stand des éditions A Lire, où le quatrième de couverture plutôt accrocheur et une discussion avec l’auteur m’ont convaincu de le faire entrer dans ma PAL. J’avoue j’ai un peu traîné à l’en faire sortir, comme souvent avec une PAL comme la mienne. Il faut dire aussi que c’est un joli pavé de plus de 700 pages, mais il y a peu j’ai décidé de lui laisser sa chance et de me lancer dans sa découverte.