Résumé : 1930. Le monde se remet à peine de la pire crise financière de tous les temps. Les capitales paniquent encore à la moindre rumeur, les colonies sont paralysées par la peur… Même les riches ne dorment pas sereinement, c’est dire.
Heureusement pour lui, le très aventureux Sachem Blight travaille dans un domaine épargné par toute cette incertitude boursière : il parcourt le vaste monde pour secourir les filles et fils de bonne famille, cette brochette d’inconscients qui se jettent volontairement dans la gueule du loup sous le prétexte de vouloir goûter aux joies de vacances exotiques. Le commerce de Blight l’emmène sur tous les continents pour affronter la multitude de dangers auxquels ses clients se frottent lors de leurs tribulations. Et cette fois-ci, Sachem est appelé à la rescousse à Montréal, au Québec. Et manque de chance pour lui, son niveau de Français n’est pas à la hauteur de l’enquête qu’il doit mener. Pour la première fois de sa carrière, il va devoir composer avec une partenaire, en la personne d’Oxiline, sa demi-sœur qu’il connaît à peine.
Edition : Les Moutons Electriques
Mon Avis : Cédric Ferrand ne m’est pas un auteur inconnu. En effet, avant de me lancer dans la lecture de ce court récit, j’avais lu les deux précédents romans de l’auteur publié aux Moutons Electriques qu’était Wastburg et Sovok. Je suis à chaque fois ressorti de ma lecture en ayant passé de très bons moments à travers des récits intéressants et prenants. Il était donc fort logique, quand j’ai appris qu’il publiait un nouveau récit, que je me laisse très facilement tenter par ce dernier et le fasse entrer dans ma PAL. Concernant la couverture, illustrée par Melchior Ascaride, je la trouve très réussie et qui donne envie de plonger dans cette histoire présentée comme un Pulp Lovecraftien.