Résumé : Christopher Bach était policier lors de la Grande Panne, ce jour où le Calculateur central, qui contrôle tous les systèmes de survie sur Luna, a connu une défaillance fatale. La vie de Chris a alors irrémédiablement basculé, et il essaie désormais d’être détective privé. Assisté de son chien cybernétiquement augmenté, Sherlock, il tente de résoudre les quelques missions qu’on lui confie en imitant les héros durs à cuire qui peuplent les livres et films noirs qu’il adore.
Lorsqu’une femme entre dans son bureau et prétend avoir été infectée volontairement par une lèpre incurable, Chris est tout disposé à l’aider à retrouver celui qui l’a contaminée. Mais il va vite déchanter en comprenant que son enquête doit le mener là où personne n’a réellement envie d’aller de son plein gré : à Irontown…
Edition : Denoël Lunes d’Encre (Publié le 14-02-2019)
Traduction : Patrick Marcel
Mon avis : Avant de me lancer dans cette lecture, je ne connaissais rien de l’univers et des écrits de John Varley. Certes, j’avais déjà entendu parler de l’auteur, qui était quand même reconnu dans le milieu, mais jamais au point de sauter le pas pour découvrir ses écrits. C’est un peu la problématique quand on entend parler d’un auteur sur le tard, mais qu’on possède une PAL en pleine expansion ; soit j’ai tellement envie de le découvrir que je me laisse tenter, soit je reporte à chaque fois à une date ultérieure. Sauf que voilà, à force de reporter, l’auteur a entre temps eu le temps de publier un nouveau roman, donc quoi de mieux pour le découvrir que de lire ce dernier. Par conséquent quand on m’a proposé de découvrir ce livre, j’ai rapidement accepté. Concernant la couverture, illustrée par Alain Brion, je la trouve franchement magnifique. Il faut savoir que ce roman s’inscrit dans l’univers de sa série Les Huit Mondes, mais, si j’ai bien compris, chaque livre peut être lu indépendamment des autres.