String City – Graham Edwards

Résumé : THE UNIVERSE IS MADE OF STRING. WHEN THE KNOTS TIGHTEN, THE COSMOS QUAKES.
It’s a tough job being a gumshoe in an interdimensional city full of gods, living concepts and weirder things. Good thing I’m a stringwalker, able to jump between realities.
It started when I was hired to investigate an explosion at a casino. A simple heist, I thought, but it turned into a race to stop the apocalypse. So I rolled the dice, and now I’m up against the ancient Greek Titans, an interdimensional spider god and a mysterious creature known as the Fool. I’m going to need more than just luck to solve this one.
If I fail, all things—in all realities—could be destroyed.
Just another day in String City.

 

Edition : Solaris

 

Mon Avis : Je me suis laissé tenter par ce roman un peu sur un coup de tête, suite à plusieurs posts de comm de l’éditeur que j’ai vu passer sur mes différents fils de réseaux sociaux. Je me suis ainsi retrouvé rapidement attiré par le résumé qui avait l’air de présenter un récit qui ne manquait pas d’imagination et de pep’s. Je ne connaissais rien de l’auteur avant de me lancer dans la lecture de ce récit, mais le site développé pour offrir un côté un peu transmédia au roman, même s’il est un peu « kitsch » a continué à titiller ma curiosité et de voir ce qu’il pouvait bien proposer. Concernant la couverture, illustrée par Vince Haig, je la trouve plutôt sympathique et qui met dans l’ambiance.

Le Livre Jaune – Michael Roch

Résumé :Un pirate s’échoue sur les rivages de Carcosa, la Cité d’Ailleurs. Persuadé d’être mort, il est amené au Roi en jaune, hanté par le souvenir de ses amours. Ce dernier lui propose de revenir à la vie s’il parvient à le débarrasser de sa malédiction.

 

Edition : Mü éditions

 

Mon Avis : J’ai découvert Michael Roch il y a un peu plus d’un an, avec son premier livre : Moi, Peter Pan. Il m’avait offert un très bon moment de lecture avec un récit philosophique, métaphysique, efficace et surtout porté par une plume soignée et poétique, qui avait fait que je me suis retrouvé rapidement immergé dans son récit, même si certaines réflexions m’avaient paru traité de façon parfois un peu sommaire (ma chronique ici). Il était donc logique que je me laisse rapidement tenté par le nouveau livre de l’auteur. Par conséquent, quand j’ai vu que Babelio le proposait dans son dernier masse critique, j’ai tenté ma chance et j’ai eu la chance d’être sélectionné. Je remercie donc Mü éditions et Babelio de m’avoir permis de découvrir ce livre. Concernant la couverture, j’avoue, pour ma part, elle me laisse un peu de côté, mais c’est personnel.

After The War Book 1, Redemption’s Blade – Adrian Tchaikovsky

Résumé : Ten years ago, the renegade demigod known as the Kinslayer returned. His armies of monsters issued from the pits of the earth, spearheaded by his brutal Yorughan soldiers. He won every battle, leaving burnt earth and corruption behind. Thrones toppled and cities fell as he drove all before him. And then he died. A handful of lucky heroes and some traitors amongst his own, and the great Kinslayer was no more.
Celestaine was one such hero and now she has tasked herself to correct the worst excesses of the Kinslayer and bring light back to her torn-up world. With two Yorughan companions she faces fanatics, war criminals and the monsters and minions the Kinslayer left behind as the fragile alliances of the war break down into feuding, greed and mistrust.
The Kinslayer may be gone, but he cast a long shadow she may never truly escape.

 

Mon Avis : J’ai découvert Adrian Tchaikovsky il y a peu, avec son roman Dans la Toile du Temps publié il y a un an maintenant en VF chez Denoël. J’avais passé un excellent moment de lecture avec ce livre, offrant un récit intelligent, efficace, prenant et il m’avait donné envie de découvrir plus de récits de l’auteur (ma chronique ici). Malgré le fait que j’ai dans ma PAL Guns of the Dawn de l’auteur, j’ai plutôt décidé de me laisser tenter par Redemption’s Blade, déjà dans un premier temps parce que, même s’il rentre dans un cycle, chaque roman est un one-shot, et ensuite le retour positif, même si tout ne l’avait pas accroché, qu’en avait fait Apophis m’avait convaincu de le lire. Concernant la couverture, illustrée par Tomasz Jedruszek, je la trouve très réussie.

Les Chants de la Terre Lointaine – Arthur C. Clarke

Résumé : La Terre se meurt et les derniers représentants de l’espèce humaine prennent place à bord du Magellan pour un voyage de plusieurs centaines d’années. Au cours d’une escale sur une planète-océan colonisée longtemps auparavant par des vaisseaux-semeurs, l’équipage du Magellan rencontre des humains pour qui la Terre n’est déjà plus qu’un lointain souvenir, une légende.

Edition : Audible

 

Mon Avis : Je continue ma découverte, grâce aux audio-livres, de classiques de l’imaginaire et aussi ma plongée dans les écrits de l’auteur Arthur C. Clarke, que j’ai très peu lu finalement. Après Rama, dont le premier tome m’avait emporté, mais où le second m’avait un peu laissé de côté, je me lance cette fois dans Les chants de la Terre Lointaine qui est souvent cité dans les grands classiques à lire de l’auteur, tout du moins dans les articles anglophones que j’ai vu passer. Concernant la narration de Slimane-Baptiste Berhoun elle est agréable, mais légèrement plombé, je trouve, par les musiques de transition entre chaque chapitre complètement en décalage du récit. On a un récit qui se base sur la construction et un rythme lent et on nous met une musique qui cherche plus le côté un peu épique. Certes, rien de bien méchant, mais c’est étonnant.

Invisible Planets: Contemporary Chinese Science Fiction in Translation – Anthologie dirigée par Ken Liu

Résumé : Award-winning translator and author Ken Liu presents a collection of short speculative fiction from China. Some stories have won awards; some have been included in various ‘Year’s Best’ anthologies; some have been well reviewed by critics and readers; and some are simply Ken’s personal favorites. Many of the authors collected here (with the obvious exception of Liu Cixin) belong to the younger generation of ‘rising stars’.
In addition, three essays at the end of the book explore Chinese science fiction. Liu Cixin’s essay, The Worst of All Possible Universes and The Best of All Possible Earths, gives a historical overview of SF in China and situates his own rise to prominence as the premier Chinese author within that context. Chen Qiufan’s The Torn Generation gives the view of a younger generation of authors trying to come to terms with the tumultuous transformations around them. Finally, Xia Jia, who holds the first Ph.D. issued for the study of Chinese SF, asks What Makes Chinese Science Fiction Chinese?.

 

Mon Avis : Suivant régulièrement l’auteur Ken Liu, j’ai ainsi entendu parler de cette anthologie au moment de sa publication. L’auteur a  décidé de rassembler dans ce recueil 13 nouvelles, de différentes autrices et différents auteurs chinois, pour ainsi permettre de faire découvrir leur Imaginaire. Il s’agit d’auteur connus et reconnus dans leurs pays , multi-primés et dont certains commencent à s’exporter dans le monde et même en France puisqu’on y retrouve Cixin Liu et Hao Jingfang. Le recueil comporte aussi trois essais intéressants, que ce soit sur l’aspect historique de la SF en Chine comme de la façon dont elle a évoluée et trouver sa voie, ses nuances ainsi que finalement ses lettres de noblesses. Comme toujours je vais tenter de donner mon avis sur chacun des textes.

Mers Mortes – Aurélie Wellenstein

Résumé : Les humains ont massacré les mers et les océans. L’eau s’est évaporée ; les animaux sont morts.
Quelques années plus tard, les mers et les océans reviennent. Ils déferlent sur le monde sous la forme de marées fantômes et déplacent des vagues de poissons spectraux, tous avides de vengeance. Les fantômes arrachent leurs âmes aux hommes et les dévorent. Bientôt, les humains eux aussi seront éteints… Leur dernier rempart face à la mort : les exorcistes.
Caste indispensable à l’humanité, les exorcistes sont bien entendu très convoités.
L’un d’eux, Oural, va se faire kidnapper par une bande de pirates qui navigue sur les mers mortes à bord d’un bateau fantôme.
Voilà notre héros embarqué de force dans une quête sanglante et obligé, tôt ou tard, de se salir les mains…

Edition : Scrinéo

 

Mon Avis : J’ai découvert Aurélie Wellenstein il y a quelques années maintenant, avec son premier roman : Le Roi des Fauves. J’avais passé un très bon moment, le livre offrant une histoire assez simple dans les grandes lignes, mais qui ne manquait pas de se révéler prenante, incisive et percutante. Depuis je n’ai raté quasiment aucune nouvelle publication de l’autrice, qui m’ont toujours accroché, offrant à chaque fois des récits sombres et efficaces. C’est donc sans surprise que je me suis laissé tenter par son tout dernier roman : Mers Mortes. Concernant la couverture, illustrée par Aurélien Police, je la trouve, comme souvent avec le travail de l’illustrateur, franchement magnifique.

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