Terra Ignota Book 2, Seven Surrenders – Ada Palmer

Résumé : In 2454, the leaders of the great globe-spanning Hives, which have replaced geographic nations, have long conspired to keep the world stable, but that balance is beginning to give way. The secret of Mycroft Canner’s rampage lies open for exploitation. Police investigation has uncovered a massive, unsuspected crime. An urban center of depravity and political control has been revealed. The secret of the child Bridger’s supernaturality is spreading. A long-hidden warmonger has returned to harangue the populace in archaic style.

Edition : Tor Books

 

Mon Avis : Il y a quelques mois, pour le challenge que je m’étais lancé de lire les nominés au prix Hugo 2017, je me suis embarqué dans le premier tome de ce cycle : Too Like The Lightning. J’étais alors ressorti plus que convaincu, ayant passé un excellent moment de lecture avec un récit dense, intelligent, entraînant et efficace, dont j’avais hâte de voir comment l’autrice allait gérer la suite des évènements (ma chronique ici). Il était donc logique que je fasse entrer rapidement cette suite dans ma PAL, surtout que bon le tome 3 est déjà publié. Concernant l’illustration de couverture, je la trouve très réussie pour ma part. Alors je vais essayer d’éviter de spoiler le premier tome, mais, je préviens, ce ne sera pas facile.

Une Etrange Aventure de Sachem Blight & Oxiline Tome 1, Et si le Diable le Permet – Cédric Ferrand

Résumé : 1930. Le monde se remet à peine de la pire crise financière de tous les temps. Les capitales paniquent encore à la moindre rumeur, les colonies sont paralysées par la peur… Même les riches ne dorment pas sereinement, c’est dire.
Heureusement pour lui, le très aventureux Sachem Blight travaille dans un domaine épargné par toute cette incertitude boursière : il parcourt le vaste monde pour secourir les filles et fils de bonne famille, cette brochette d’inconscients qui se jettent volontairement dans la gueule du loup sous le prétexte de vouloir goûter aux joies de vacances exotiques. Le commerce de Blight l’emmène sur tous les continents pour affronter la multitude de dangers auxquels ses clients se frottent lors de leurs tribulations. Et cette fois-ci, Sachem est appelé à la rescousse à Montréal, au Québec. Et manque de chance pour lui, son niveau de Français n’est pas à la hauteur de l’enquête qu’il doit mener. Pour la première fois de sa carrière, il va devoir composer avec une partenaire, en la personne d’Oxiline, sa demi-sœur qu’il connaît à peine.

Edition : Les Moutons Electriques

 

Mon Avis : Cédric Ferrand ne m’est pas un auteur inconnu. En effet, avant de me lancer dans la lecture de ce court récit, j’avais lu les deux précédents romans de l’auteur publié aux Moutons Electriques qu’était Wastburg et Sovok. Je suis à chaque fois ressorti de ma lecture en ayant passé de très bons moments à travers des récits intéressants et prenants. Il était donc fort logique, quand j’ai appris qu’il publiait un nouveau récit, que je me laisse très facilement tenter par ce dernier et le fasse entrer dans ma PAL. Concernant la couverture, illustrée par Melchior Ascaride, je la trouve très réussie et qui donne envie de plonger dans cette histoire présentée comme un Pulp Lovecraftien.

Luna Tome 2, Lune du Loup – Ian McDonald

Résumé : Sur la Lune, deux ans après les événements qui ont précipité la chute de la famille Corta, les Mackenzie se sont approprié les restes de leur entreprise. Il n’y a donc plus que quatre «Dragons», ces consortiums familiaux qui se partagent l’exploitation des ressources lunaires et, donc, le pouvoir. Pourtant, les Mackenzie se déchirent sur les cadavres encore frais de leurs ennemis de toujours. Les Sun continuent, discrètement, à élaborer des plans visant à affaiblir leurs adversaires. Les Vorontsov vendent toujours leurs indispensables services au plus offrant. Et les Asamoah tentent tant bien que mal de préserver leur neutralité de façade. Mais le statu quo, même sous gravité réduite, n’est jamais acquis. D’autant que les rares survivants de la famille Corta – blessés, en fuite ou sous la protection d’autres Dragons – n’ont pas dit leur dernier mot.

Edition : Denoël Lunes d’Encre
Traduction : Gilles Goullet

 

Mon Avis: Il y a environ un an maintenant, je me suis rapidement plongé dans le premier tome de cette trilogie de Ian McDonald. Il faut dire que l’auteur ne m’avait jamais déçu, proposant des romans toujours prenants, denses, soignés et fascinants et il était donc logique que ce Luna, Nouvelle Lune termine entre mes mains. Et je n’ai pas été déçu, car même si l’auteur proposait un récit dans un genre un peu différent de ce qu’il faisait d’habitude, cela ne m’a pas empêché de passer un excellent moment de lecture avec une histoire efficace, dense et pleine de tension (ma chronique ici). Il était donc logique que je me jette rapidement sur le second tome de ce cycle dès sa publication. Concernant la couverture, illustrée par Manchu, je la trouve très jolie. Par contre, chronique d’un tome 2 oblige, je vais en partie spoiler le tome 1, évitez donc de lire cette chronique si vous n’avez pas lu le premier tome.

Coup de Griffe sur le cinéma ! (1)

Comme je l’avais annoncé, j’ai prévu quelques changements au niveau de la ligne éditoriale du blog. J’ai en tête depuis quelques temps de tenter de relancer mes articles sur tout ce qui peut être mes lectures de BD/Comics/manga, mais aussi, comme vous vous en doutez avec un tel titre, faire des articles sur les films que j’ai vu. Il faut dire aussi que j’ai toujours été un fan de cinéma. Bien avant de tomber dans la lecture (que j’ai surtout découvert plutôt au début de mon adolescence) j’ai surtout fait parti de la génération écran, que ce soit aussi bien TV ou cinéma. C’est pourquoi, vu que depuis quelques semaines j’essaie de retrouver un rythme de séances de cinéma, je me suis dis que je pourrait partager avec vous mes retours.

Déjà, commençons par définir quel genre de spectateur je suis, cela va forcément jouer sur mes retours. Je ne suis pas obligatoirement un spectateur pointu, je ne cherche pas obligatoirement le petit film indépendant, ou, à l’inverse, je ne suis pas obligatoirement un des plus grands fan de blockbusters. Je recherche surtout des films qui savent me raconter une histoire, qui le fait sans trop d’aberration, sans trop d’incohérences. Un film n’est jamais parfait, si on cherche on trouvera toujours une incohérence, un faux raccord, mais s’il arrive à me les faire oublier et à m’emporter, alors il aura en parti gagné son pari. Globalement, petit film, ou film à gros budget j’attends de ce dernier qu’il me fasse oublier le quotidien. D’ailleurs concernant la notation que je mets en place repose ainsi sur le plaisir, l’envie de revoir le film. En sortant de la séance je me pose la question suivante : si je n’avais pas eu une carte illimitée, voudrais-je payer en moyenne 10 euros pour aller voir ce film?

L’Île de Peter – Alex Nikolavitch

Résumé : « Tout bien considéré, vous avez eu de la chance dans votre malheur. Vous avez échoué sur cette île-ci, et pas sur celle où les enfants se transforment en ânes, ni celle où les marins deviennent des cochons. Y avez-vous pensé à ça, capitaine ? »
Qui est ce vieux marin qui traîne sa dégaine dans les rues de l’East Village à la recherche d’herbes médicinales très particulières et pourquoi Joab, le caïd du quartier, cherche-t-il sa piste dans des vapeurs narcotiques ?
Ce sont ces questions auxquelles devra répondre Wednesday, policière à New York, alors qu’elle se retrouve exilée sur une île tropicale étrange et pourtant familière…

Edition : Les Moutons Electriques

 

Mon avis : Avant de me lancer dans la lecture de ce petit livre, d’Alex Nikolavitch j’avais lu son roman, Eschatôn, qui proposait un récit de Space-Opera mélangé avec les mythes Lovecraftiens et qui m’avait offert un sympathique moment de lecture, mais dont, j’avoue, j’espérais peut-être un peu plus (ma chronique ici). Cette fois l’auteur décide de quitter Lovecraft pour revisiter, avec ce récit, le mythe de Peter Pan et dont, j’avoue, le résumé m’a paru assez intrigant pour que je me laisse facilement tenter. Concernant la couverture, illustrée par Melchior Ascaride, elle est superbe, je trouve, avec ce mélange entre monde réel et île fantastique.

After Atlas – Emma Newman

Résumé : Carlos Moreno est un esclave. Son contrat d’inspecteur auprès du ministère de la Justice l’engage jusqu’à la fin de ses jours, ou presque. Quand sa supérieure lui demande d’enquêter sur la mort suspecte d’Alejandro Casales, l’un des plus puissants leaders religieux de la planète, il n’a d’autre choix que d’accepter. Mais pourra-t-il garder la distance nécessaire à l’exercice de ses fonctions, quand la victime n’est autre que l’homme qu’il aimait jadis comme un père et qui l’a sauvé lorsque sa mère, Lee Suh-Mi, est partie dans les étoiles à bord de l’Atlas ?

Edition :

 

Mon Avis : J’ai découvert Emma Newman il y a un peu moins d’un an maintenant avec son premier roman publié en VF : Planetfall. J’avais passé un très bon moment de lecture avec ce récit de science-fiction intelligent, proposant une intrigue entraînante et bien portée par des héros intéressants et attachants (ma chronique ici). Il était donc logique que je me laisse rapidement tenter par ce After Atlas, nouveau roman se situant dans le même univers que Planetfall, mais offrant des personnages différents. Concernant la couverture, elle reprend celle en VO et reste dans le même style que celle du précédent roman. Alors, il est possible de lire ce roman de façon indépendante sans soucis, même si je trouve que ce serait dommage concernant la compréhension de certains points qui pourraient être vus différemment si on a lu Planetfall.

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