The Memoirs of Lady Trent Book 5, Within the Sanctuary of Wings – Marie Brennan

Résumé : After nearly five decades (and, indeed, the same number of volumes), one might think they were well-acquainted with the Lady Isabella Trent–dragon naturalist, scandalous explorer, and perhaps as infamous for her company and feats of daring as she is famous for her discoveries and additions to the scientific field.
And yet–after her initial adventure in the mountains of Vystrana, and her exploits in the depths of war-torn Eriga, to the high seas aboard The Basilisk, and then to the inhospitable deserts of Akhia–the Lady Trent has captivated hearts along with fierce minds. This concluding volume will finally reveal the truths behind her most notorious adventure–scaling the tallest peak in the world, buried behind the territory of Scirland’s enemies–and what she discovered there, within the Sanctuary of Wings.

Edition : Tor Books

 

Mon Avis : Bon, je viens de me rendre compte que j’ai commencé la lecture de ce cycle il y a maintenant presque deux ans. Que le temps passe vite, j’avais l’impression que c’était il y a tout juste un an. Donc, après deux ans, voilà la conclusion d’un cycle qui m’a offert pour le moment un très bon moment de lecture, principalement dans la découverte de l’héroïne, Lady Trent, mais aussi dans l’univers et l’histoire des dragons que l’on découvre (chronique du Tome 1, Tome 2, Tome 3, Tome 4). J’avais donc hâte de voir ce que Marie Brennan nous réservait pour ce dernier tome. À noter la couverture ainsi que les illustrations intérieures, réalisées par Todd Lockwodd, qui sont toujours aussi magnifiques et apportent un vrai plus au livre. Par contre, comme toujours avec une chronique d’un tome 1+X dans un cycle, je risque de spoiler les tomes précédents.

Le Plus Heureux des tous les Enfants Décédés – Tad Williams

Résumé : Breda appartient au Peuple du Kynslagh. Orpheline de père, elle vivra dans le sillage de celui qui deviendra roi et y perdra son amour et ses espoirs. Orlando est lui un petit garçon dont l’esprit a été rapatrié dans le réseau à la mort de son corps. Mais même dans les mondes informatiques, le danger le guette…
Deux vies, deux destins insolites, pour goûter ou redécouvrir les univers de l’Arcane des Épées et Autremonde.

Edition : ActuSF

 

Mon Avis : Tad Williams est un auteur connu et reconnu pour ses différents textes et cycles qui ont tous connu un certain succès. Deux de ses cycles les plus connus sont ainsi (du moins à ma connaissance) L’Arcane des Epées et Autremonde. Il faudrait d’ailleurs que je me remette à lire des romans de l’auteur, j’ai toujours l’intégrale 2 de L’Arcane des Epées à lire, mais ce n’est pas le bouquin le plus pratique à transporter sauf si je compte aussi assommer quelqu’un dans le métro (le livre faisant bien plus de 1000 pages). Ce petit livre, par contre nous, propose de découvrir deux nouvelles, chacune se situant justement dans l’un des univers que j’ai cité un peu plus haut. Par conséquent quand on m’a proposé de le découvrir, j’ai rapidement accepté histoire de me plonger, ou me replonger, dans les univers de l’auteur et aussi trouver la motivation (et le temps, surtout le temps) de me remettre à la lecture de ses cycles. Concernant la couverture, illustrée par Alex Andreyev, je la trouve assez sympathique.

Les Griffes et les Crocs – Jo Walton

Résumé : Bon Agornin a eu une longue et belle vie, mais sa fin est proche, il le sent. Étendu près de son trésor, il attend la mort. Toute sa famille est réunie pour vivre avec lui ses derniers instants : ses deux fils et ses trois filles, ainsi que son gendre, l’Illustre Daverak qui héritera de son domaine.
Bon Agornin tient absolument à se confesser à son fils aîné, il veut partir absous de ses péchés, d’autant que ceux-ci sont immenses : afin de pouvoir devenir un dragon de soixante-dix pieds de long, capable de voler et de cracher du feu, il a dévoré son frère et sa sœur – les carcasses de bœuf ne suffisent pas pour mener à bien une telle entreprise…
«Je n’ai pas eu le choix», se justifie-t-il, dans son dernier souffle. Avant d’être dévoré à son tour par ses héritiers, comme le veut la tradition chez les dragons.

Edition : Denoël Lunes d’Encre

 

Mon Avis : J’avoue, depuis que j’ai découvert Jo Walton avec son roman Morwenna, je me laisse assez facilement tenter par chaque nouvelle publication de l’autrice. Jusqu’à maintenant je n’ai jamais été déçu par ses récits, proposant des histoires humaines, complexes, intelligentes et très intéressantes. C’est donc sans surprise que je me suis rapidement laissé tenter par cette nouvelle publication en VF, mélange de Fantasy et de roman victorien. A noter aussi la magnifique couverture, illustrée par Aurélien Police et qui, je trouve, colle parfaitement au récit. Il est aussi à noter que ce roman a gagné le World Fantasy Award de 2004.

Le Vieil Homme et la Guerre Tome 1, Le Vieil Homme et la Guerre – John Scalzi

Résumé : À soixante-quinze ans, l’âge requis, John Perry n’est pas le seul à intégrer les Forces de défense coloniale, billet pour les étoiles, mais sans retour. Rien ne le retient plus sur Terre. Combien d’années peut-il espérer vivre ? S’engager, c’est protéger l’expansion de l’humanité dans la Galaxie, retrouver une seconde jeunesse et, à l’issue du service, obtenir le statut de colon sur une planète nouvelle. Mais qu’advient-il réellement de ces recrues ?

 

Edition : L’Atalante

 

Mon Avis : Cela fait des années que je me dis qu’il serait peut-être temps que je me lance dans la lecture de ce fameux cycle de John Scalzi. Il faut dire que, depuis sa sortie, j’en entends parler régulièrement, que ce soit sur des blogs ou des sites, et il se retrouve aussi régulièrement dans les listes de livres de SF, et plus précisément de SF militaire, à lire et à découvrir. Bon, après une bonne dizaine d’années il était quand même temps que je me lance. Je pense aussi, si j’accroche, pourquoi pas lire le cycle cette année. La couverture, illustrée par Didier Florentz, est très sympathique et a le don de mettre directement dans l’ambiance.

Les Centaures – André Lichtenberger

Résumé : Aux centaures la plaine luxuriante, aux faunes la forêt centenaire et aux tritons l’océan infini. Protecteur des Trois Tribus et gardien des animaux, Klévorak, le roi du peuple aux six membres, maintient la paix entre tous, imposant sa loi. Mais celle-ci vient d’être violée, et voilà que les eaux se déversent du ciel crevé et que la race impie des hommes, frères du froid et de la mort, menace l’équilibre de la nature… Pris entre la mer salée, immense et terrible, et les glaives de bronze des Écorchés, les centaures et leurs frères vont devoir faire un choix.

Edition : Callidor

 

Mon Avis : Je continue ma plongée dans le catalogue des Editions Callidor qui propose un travail très intéressant sur des auteurs ou des livres oubliés, ou bien qui n’ont jamais été publié en VF. D’ailleurs, il est à noter que cette fois il s’agit d’un auteur français, André Lichtenberger étant originaire d’Alsace et est principalement connu pour ses écrits plutôt pessimistes sur le socialisme et la France. Alors, je l’avoue, je me considère comme une personne ayant un minimum de connaissance en Fantasy, mais je n’avais jamais entendu parler de ce roman qui est quand même présenté par l’éditeur comme l’un des pionniers de la Fantasy française. C’est donc une découverte. Il est d’ailleurs assez étonnant de savoir qu’il a d’abord été redécouvert aux USA par une édition publiée en 2013 et présentée par Brian Stabelford, alors qu’il n’avait plus été édité en France depuis 1921. Concernant les illustrations elles sont de Vincent Poiré, réalisées pour l’édition de 1921, et ajoutent un vrai plus, je trouve, à l’objet en lui-même qui est toujours aussi superbe.

L’Installation de la Peur – Rui Zink

Résumé : La sonnette retentit dans l’appartement d’une femme vivant seule avec un enfant. Ignorant qui se trouve derrière la porte, la femme, méfiante, décide de cacher son enfant dans la salle de bains avant d’aller ouvrir. Sur le perron se trouvent deux agents du gouvernement qui l’informent de leur mission :
la mise en application de la directive n° 359/13 exigeant l’installation de la peur dans chaque foyer. Faisant irruption violemment dans le salon, les deux visiteurs se lancent dans une inquiétante performance : tour à tour, ils haranguent la pauvre femme, dressant un tableau horrifique des maux de notre temps. Dans leur discours halluciné, tout y passe : crise, épidémies, catastrophes naturelles, misère sociale, guerre et torture, terrorisme… Ils agrémentent leur diatribe d’histoires effrayantes jouant sur les peurs primales de l’homme (peur de l’autre, de la maladie, de la folie…), qu’ils mettent en scène pour un effet d’épouvante maximum. Petit à petit, ils installent ainsi une violence sourde dans la pièce, entraînant la femme – et le lecteur – dans leur délire paranoïaque. Mission accomplie? Pas sûr. La peur a une vie propre, et ses ravages peuvent parfois se montrer inattendus…

Edition : Agullo

 

Mon Avis : J’avoue, je me suis laissé convaincre par ce livre un peu par hasard. Lors du dernier festival des Utopiales, j’ai découvert que ce roman était nominé aux Prix Européen des Utopiales 2017 (prix qu’il a finalement gagné quelques jours après), ce qui a eu le don de titiller ma curiosité vu que je n’en avais jamais entendu parler. Il faut aussi ajouter à cela un quatrième de couverture que je trouvais accrocheur, ce qui a fini de me convaincre et a fait que ce livre a alors rapidement fini dans ma PAL. Concernant la couverture, je la trouve sobre, même si là, j’avoue, j’ai du mal à voir le lien avec le roman.

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