Le Cycle de Rama Tome 1, Rendez-Vous avec Rama – Arthur C. Clarke

Résumé : 2130. Un objet spatial non identifié est localisé dans le système solaire : c’est un cylindre aux proportions extraordinaires – 30 km de long -, et qui se déplace au tiers de la vitesse de la lumière – 100.000 km/h. Il sera baptisé Rama.
La curiosité cède cependant le pas à l’effarement quand l’équipage du vaisseau spatial « Endeavour » parvient à pénétrer dans son habitacle. Car cet « artefact », qui semble n’avoir jamais subi la moindre altération du temps, contient en son sein un véritable monde miniature. Son exploration minutieuse révèle en effet une mer, des reliefs, des routes, des villes… Un univers de silence et de non-vie, où tout semble d’une haute technologie et pourtant vieux de millions d’années ! Rama continue de fendre l’espace… Qui est aux commandes : un robot ? un esprit ?

Edition : Audible

 

Mon Avis : Arthur C. Clarke fait partie des auteurs qui ont d’une certaine façon marqué la Science-Fiction, gagnant de nombreux prix pour ces différents romans et surtout ayant travaillé avec Stanley Kubrick pour adapter 2001 l’Odyssée de l’Espace en parti inspiré de l’une de ses nouvelles. Il fait d’ailleurs partie, selon moi, de cette génération d’auteur qui ont toujours eu à coeur dans leurs textes de mettre la science en avant, avec les avantages et les inconvénients que cela peut proposer. J’ai déjà lu des écrits de l’auteur, il y a plusieurs années maintenant, mais je me suis rendu compte que je n’en avais pas relu, ni lu de nouveaux, depuis la création de ce blog. Il fallait donc remédier à cela et c’est avec Rama, l’un des grands cycles de l’auteur, que j’ai décidé de me lancer. J’ai ainsi découvert ce premier tome en audiobook. Concernant le narrateur, je ne lui enlève en rien à sa prestation convaincante et énergique, mais j’avoue son envie de vouloir offrir une voix à chaque narrateur (accent russe pour un narrateur russe, accent féminin pour une héroïne, …) est parfois légèrement dérangeant. Pour ma part rien de trop bloquant non plus, il faut juste le savoir avant de se lancer dans l’écoute, car cela pourra peut-être en déranger certain. Il est à noter que ce roman a gagné de nombreux prix donc le Locus, le Nebula ou encore le Hugo.

The Green Bone Saga Book 1, Jade City – Fonda Lee

Résumé : Magical jade—mined, traded, stolen, and killed for—is the lifeblood of the island of Kekon. For centuries, honorable Green Bone warriors like the Kaul family have used it to enhance their abilities and defend the island from foreign invasion.
Now the war is over and a new generation of Kauls vies for control of Kekon’s bustling capital city. They care about nothing but protecting their own, cornering the jade market, and defending the districts under their protection. Ancient tradition has little place in this rapidly changing nation.
When a powerful new drug emerges that lets anyone—even foreigners—wield jade, the simmering tension between the Kauls and the rival Ayt family erupts into open violence. The outcome of this clan war will determine the fate of all Green Bones—from their grandest patriarch to the lowliest motorcycle runner on the streets—and of Kekon itself.

Edition : Orbit

 

Mon Avis : Alors j’avoue, ce livre a terminé dans ma PAL par un concours de circonstances. Je n’avais encore rien lu de Fonda Lee avant d’acquérir ce roman. J’ai ainsi rapidement été intrigué par toute la communication qu’avait fait Orbit autour de ce dernier au moment de sa sortie. Sauf que voilà, je suis resté un moment indécis, me demandant si ce récit allait me plaire, ayant dans son quatrième de couverture un petit je ne sais quoi de déjà vu. Quelques mois après la sortie de ce roman, l’éditeur ayant lancé une offre permettant d’acquérir l’ebook pour 99cts j’avoue j’ai alors craqué assez facilement, me permettant ainsi de découvrir ce livre et de me faire mon propre avis sans non plus être pressé. Et puis il y a peu j’ai décidé de le sortir de ma PAL, constant que Jade City était nominé au Locus Awards et au Nebula Awards.

Deus in Machina – John Scalzi

Résumé : « L’heure était venue de fouetter le dieu. Le capitaine Ean Tephe entra dans la chambre divine, un coffret en filigrane laqué dans les mains. Il découvrit un acolyte qui perdait son sang et le dieu à plat ventre sur son disque de fer, les chaînes tendues à bloc. La bouche écrasée contre le métal, le dieu ricanait en se passant la langue sur ses lèvres rougies. Un prêtre se tenait au-dessus de lui, à l’extérieur du cercle de confinement. Deux autres acolytes étaient adossés à la paroi, terrifiés. »Voici le dieu dans la machine.
Vous pouvez dire vos prières…

Edition : L’Atalante

 

Mon Avis : Il y a quelques mois maintenant, je me suis lancé dans la lecture du grand cycle le plus connu de John Scalzi : Le Vieil Homme et la Guerre. Ayant accroché au premier tome (ma chronique ici) j’ai décidé, non pas de me faire une année thématique sur l’auteur, mais de sortir ses différents livres que j’ai de ma bibliothèque. C’est donc comme ça que j’en suis venu à sortir cette novella de ma PAL et de lui laisser une chance. Il faut dire que la couverture, illustrée par Vincent Chong, ainsi que le quatrième de couverture avait quelque chose d’intrigant et qui donnait envie d’en apprendre plus.

The Lamb Will Slaughter The Lion – Margaret Killjoy

Résumé : Danielle Cain is a queer punk rock traveller, jaded from a decade on the road. Searching for clues about her best friend’s mysterious and sudden suicide, she ventures to the squatter, utopian town of Freedom, Iowa. All is not well in Freedom, however: things went awry after the town’s residents summoned a protector spirit to serve as their judge and executioner.
Danielle shows up in time to witness the spirit—a blood-red, three-antlered deer—begin to turn on its summoners. Danielle and her new friends have to act fast if they’re going to save the town—or get out alive.

Edition : Tor

 

Mon Avis : Je me suis lancé dans la lecture de cette novella un peu sur un coup de tête, surtout que je ne connaissais rien de Margaret Killjoy avant de faire entrer ce livre dans ma PAL. J’ai ainsi été rapidement attiré par la promotion qui a été faite par l’éditeur et aussi, j’avoue, par la couverture illustrée par Mark Smith, que je trouve magnifique. Je me suis alors retrouvé à me renseigner et j’ai très vite été intrigué par le résumé du quatrième de couverture de cette novella ainsi que par le commentaire d’Alan Moore en couverture (aspect commercial qui pourtant d’habitude me bloque) qui a titillé ma curiosité et  renforcé mon envie de découvrir ce petit livre.

Les Océans Stellaires – Loïc Henry

Résumé : Encouragée par ses premiers succès, Luu Ly cherche une nouvelle planète à explorer. Son objectif ? Trouver des Seuils, ces passages interplanétaires cachés au fond des mers, et les vendre à prix d’or à la Fédération ou à ses adversaires, la Ligue et l’Empire. Pourtant, elle est loin d’imaginer les conséquences de sa prochaine exploration !
Psycho-éthologue de la Fédération, Stella est en état d’alerte : une jeune explo vient de faire une découverte majeure. Les bases de l’exploration spatiale pourraient en être bouleversées.
Dans la partie qui s’engage, et dont l’enjeu n’est rien moins que l’avenir de l’humanité, un dirigeant de la Fédération dévoré d’ambition, un généticien avide de vengeance, un couple d’explorateurs mystérieux et deux petits prodiges aux ressources surprenantes vont jouer leur propre partition.
Et si certains d’entre eux partageaient sans le savoir un secret ancien ?

Edition : Scrinéo

 

Mon Avis : Les Océans Stellaires est le second roman de l’auteur Loïc Henry, le premier étant Loar que j’ai découvert il y a quelques années maintenant (ma chronique ici). J’avais passé un très bon moment de lecture justement avec ce roman, offrant une intrigue soignée et intéressante ainsi que quelques bonnes idées bien exploitées. Il était donc logique, lorsque j’ai vu la publication du nouveau livre de l’auteur, que je décide de le faire rapidement entrer dans ma PAL. Il est à noter aussi que ce roman ouvre la collection Space-Opera chez Scrinéo dirigée par Stéphanie Nicot. Concernant la couverture, illustrée par Benjamin Carré, je la trouve plutôt sympathique et qui colle bien au récit.

Satinka – Sylvie Miller

Résumé : Jenny Boyd, serveuse dans un saloon de Colfax, petite ville blottie dans les contreforts de la Sierra Nevada, délaisse ses études au grand désarroi de sa mère. Elle est bien plus fascinée, depuis l’enfance, par la grande ligne de chemin de fer transcontinentale, construite au dix-neuvième siècle. La nuit, les trains sifflants hantent ses rêves, des rêves si crédibles quelle finit par les croire réels !
Alors, quand Jenny est prise de violentes visions, elle s’escrime à comprendre les forces qui la tourmentent. Aidée par son ami d’enfance, elle devra remonter le temps et affronter d’implacables adversaires…

Edition : Critic

 

Mon Avis : J’avoue, je ne me suis pas lancé dans la lecture de ce roman par hasard. Je connaissais déjà les écrits de Sylvie Miller principalement à travers sa collaboration avec Philippe Ward sur la série Lasser, Détective des Dieux. Il était donc logique que, lorsque j’ai appris qu’elle publiait ce qui, si je ne me trompe pas, est son premier roman solo, je le fasse très rapidement entrer dans ma PAL. Surtout que le livre traite d’une part d’histoire que je connais peu : la construction de la ligne de chemin de fer transcontinentale. J’étais ainsi très intéressé de savoir comment l’autrice allait traité le sujet. Alors comme souvent, c’est vrai, il a trainé un peu dans ma PAL, il faut dire que dernièrement j’ai plus de facilité à sortir ma liseuse que des livres papier. En ce qui concerne la couverture, illustrée par Xavier Collette, elle est vraiment très jolie. Il est à noter que ce récit a gagné le prix Bob Morane 2018 du roman français.

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