Catégorie : Science-Fiction Page 18 of 56

All The Birds in the Sky – Charlie Jane Anders

Résumé : Childhood friends Patricia Delfine and Laurence Armstead didn’t expect to see each other again, after parting ways under mysterious circumstances during high school. After all, the development of magical powers and the invention of a two-second time machine could hardly fail to alarm one’s peers and families.
But now they’re both adults, living in the hipster mecca of San Francisco, and the planet is falling apart around them. Laurence is an engineering genius who’s working with a group that aims to avert catastrophic breakdown through technological intervention into the changing global climate. Patricia is a graduate of Eltisley Maze, the hidden academy for the world’s magically gifted, and works with a small band of other magicians to secretly repair the world’s ever-growing ailments. Little do they realize that something bigger than either of them, something begun years ago in their youth, is determined to bring them together–to either save the world, or plunge it into a new dark ages.

Edition : Tor Books

 

Mon Avis : On continue dans mon challenge de lectures concernant le prix Hugo 2017 avec le roman de Charlie Jane Anders. L’auteur est peut être connu de certains, étant la fondatrice du site io9 où elle a longtemps oeuvrer avant de le quitter il y a quelques années de cela pour se consacrer à l’écriture. Elle a aussi gagné le prix Hugo en 2012 pour sa novellette Six Months, Three Days. All The Birds in the Sky est son premier roman et il fait clairement parti des grands favoris pour le prix Hugo, ayant déjà gagné le Crawford award le Nebula Award et le Locus Award. Concernant l’illustration de la couverture, je la trouve très sympathique et efficace.

Wayfarers Book 2, A Closed and Common Orbit – Becky Chambers

Résumé : Embark on an exciting, adventurous, and dangerous journey through the galaxy with the motley crew of the spaceship Wayfarer in this fun and heart-warming space opera—the sequel to the acclaimed The Long Way to a Small, Angry Planet.
Lovelace was once merely a ship’s artificial intelligence. When she wakes up in a new body, following a total system shut-down and reboot, she has no memory of what came before. As Lovelace learns to negotiate the universe and discover who she is, she makes friends with Pepper, an excitable engineer, who’s determined to help her learn and grow.
Together, Pepper and Lovey will discover that no matter how vast space is, two people can fill it together.

Edition : Harper Voyager

 

Mon Avis : La lecture du premier tome de ce cycle, The Long Way to a Small, Angry Planet, m’avait laissé un sentiment mitigé se révélant trop optimiste et surtout trop convenu à mon goût, même s’il reste sympathique à lire (ma chronique ici). Je me suis tout de même lancer dans la lecture de ce second tome pour savoir ce qu’allait bien proposer l’auteur et surtout me permettre de voter en toute connaissance de cause au prix Hugo. Concernant l’illustration de la couverture, on reste dans le même style que celle du premier tome, que je trouve plutôt sympathique.

Wayfarers Book 1, The Long Way to a Small, Angry Planet – Becky Chambers

Résumé : Somewhere within our crowded sky, a crew of wormhole builders hops from planet to planet, on their way to the job of a lifetime. To the galaxy at large, humanity is a minor species, and one patched-up construction vessel is a mere speck on the starchart. This is an everyday sort of ship, just trying to get from here to there.
But all voyages leave their mark, and even the most ordinary of people have stories worth telling. A young Martian woman, hoping the vastness of space will put some distance between herself and the life she‘s left behind. An alien pilot, navigating life without her own kind. A pacifist captain, awaiting the return of a loved one at war.

Edition : Hodder & Stoughton

 

Mon Avis : Comme je l’ai annoncé il y a plusieurs mois maintenant, j’ai prévu d’aller à la WorldCon de cette année qui est prévue à Helsinki. La WorldCon, outre le fait que ce soit une grosse convention liée à l’imaginaire, est aussi l’endroit ou est désigné les gagnants des prix Hugo qui repose sur les votes. Pour résumé, si on prend un Pass pour aller à cette convention on a le droit de voter pour les différents. Sauf que pour bien voter pour un prix, il faut avoir lu tous les livres nominés. C’est mieux quand même. Voilà donc le défi que je me suis lancé, lire les 6 livres nominés au prix Hugo, mais aussi pour ne pas me sentir perdu, les tomes précédents quand il y en a. Ainsi The Long Way to a Small, Angry Planet n’est pas directement nominé, mais il fait parti de la série Wayfarers dont le tome 2, lui, est nominé.

La Mort du Temps – Aurélie Wellenstein

Résumé : Un séisme temporel a dévasté la Terre, massacrant une large partie de la population et mélangeant les époques entre elles. Callista se retrouve seule survivante dans un Paris ravagé où s’amalgament deux mille ans d’architecture. Tous ses repères chamboulés, la jeune fille n’a plus qu’un espoir : retrouver en vie sa meilleure amie, restée dans l’Est de la France. Callista part à pied pour un long périple, talonnée par la monstrueuse réplique du séisme qui semble la suivre pour l’anéantir. Si elle s’arrête, si elle ralentit, le cataclysme la dévorera. Au côté d’étranges compagnons, issus de siècles différents, elle va tout faire pour échapper au chaos.

Edition : Scrinéo

 

Mon Avis : Depuis quelques années maintenant, et ma découverte du récit Le Roi des Fauves de l’auteur, je me laisse facilement tenter par les nouveaux romans d’Aurélie Wellenstein. Il faut dire que pour l’instant j’ai toujours passé de bons moments de lecture avec les précédents romans de l’auteur, offrant des récits plutôt sombres, efficaces, percutants et bien porté par des personnages intéressants et entraînants. Il était donc logique que je reparte des dernières Imaginales avec son tout dernier livre dans ma PAL. Concernant la couverture, illustrée par Benjamin Carrée, je la trouve très sympathique et qui colle plutôt bien au récit.

Le Jeu du Démiurge – Philippe-Aubert Côté

Résumé : 2901 – Calendrier universel terrestre
Les Éridanis, lointains descendants hermaphrodites des humains, ont entrepris de coloniser la Voie lactée en s’établissant de planète en planète. À bord du Lemnoth, ces posthumains de chair et de métal s’apprêtent à accomplir un nouveau saut interstellaire afin de fonder une autre colonie sur Selckin-2. Parmi eux, Nemrick, de la caste des Ludis, qui a intégré la mission afin de suivre l’amour de sa vie, le Techno Rumack, qui rêve de créer un milieu de vie idéal pour leurs descendants…
3045 – Calendrier universel terrestre
Plus d’un siècle après l’arrivée des Éridanis, de nombreuses cités s’éparpillent sur Selckin-2. Elles sont habitées par les Mikaïs, une race à mi-chemin entre homo habilis et homo sapiens créée par Rumack. Ce sont eux qui ont construit les prodigieux édifices de ces villes pourtant prévues pour des Éridanis.
Takeo habite Nagack, la somptueuse ville qui s’élève sur le flanc du mont Lemnoth. Comme ses congénères, il vénère les « Maîtres », mais ne s’en inquiète pas moins de la progression du Mal de Rumack qui les condamne à sombrer dans la sauvagerie s’ils ne reçoivent pas l’aide des arbres-machines. Pendant que des rumeurs de guerre se propagent dans la ville, Takeo cherche à sauver son grand-père de la régression. Mais une rencontre fortuite avec le fantôme de Rumack fera de lui la pièce maîtresse d’un jeu qui a débuté bien avant sa naissance, celui du Démiurge !

Edition : A Lire

 

Mon Avis : Lors du festival des Imaginales de l’année dernière (donc celui de 2016), j’ai été fortement intrigué par la couverture de ce roman. L’illustration, réalisée par Gregory Fromenteau, n’arrêtait pas d’attirer mon regard se révélant, je trouve, très réussie et accrocheuse. Je me suis donc arrêté au stand des éditions A Lire, où le quatrième de couverture plutôt accrocheur et une discussion avec l’auteur m’ont convaincu de le faire entrer dans ma PAL. J’avoue j’ai un peu traîné à l’en faire sortir, comme souvent avec une PAL comme la mienne. Il faut dire aussi que c’est un joli pavé de plus de 700 pages, mais il y a peu j’ai décidé de lui laisser sa chance et de me lancer dans sa découverte.

La Cité du Futur – Robert Charles Wilson

Résumé : Pour cinq ans seulement, jusqu’en 1877, la cité de Futurity dresse ses immenses tours jumelles au-dessus des grandes plaines de l’Illinois. Depuis Futurity, des hommes du futur viennent visiter le XIXe siècle. Et, contre une fortune en métaux précieux, les autochtones peuvent dormir dans la tour n° 1, véritable vitrine technologique d’un incompréhensible XXIe siècle.
C’est dans cette cité, construite à partir d’un futur parallèle, que travaille, comme agent de sécurité, Jesse Cullum, un autochtone. Parce qu’il a sauvé le président Ulysse Grant d’une tentative d’assassinat, Jesse se voit proposer une promotion : assisté d’une femme du XXIe siècle, il va devoir mener l’enquête.
Mais que va-t-il réellement découvrir? Un complot pour tuer le président… ou les inavouables secrets de Futurity?

Edition : Denoël (parution le 18/05/2017)
Traduction : Henry-Luc Planchat

 

Mon Avis : J’avoue, depuis ma découverte de Robert Charles Wilson avec son roman Spin, je me laisse facilement convaincre par ses différentes publications qui m’offrent régulièrement une SF intéressante et humaine, bien porté par des personnages efficaces et charismatiques. C’est donc sans surprise que son dernier roman ait rapidement rejoint ma bibliothèque, surtout que le quatrième de couverture se révélait franchement accrocheur. Concernant la couverture, illustrée par Aurélien Police, je la trouve très réussie et colle bien à l’ambiance décalé du récit entre science-fiction et western.

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