Catégorie : Science-Fiction Page 10 of 56

The Machineries of Empire Book 3, Revenant Gun – Yoon Ha Lee

Résumé : When Shuos Jedao wakes up for the first time, several things go wrong. His few memories tell him that he’s a seventeen-year-old cadet–but his body belongs to a man decades older. Hexarch Nirai Kujen orders Jedao to reconquer the fractured hexarchate on his behalf even though Jedao has no memory of ever being a soldier, let alone a general. Surely a knack for video games doesn’t qualify you to take charge of an army?
Soon Jedao learns the situation is even worse. The Kel soldiers under his command may be compelled to obey him, but they hate him thanks to a massacre he can’t remember committing. Kujen’s friendliness can’t hide the fact that he’s a tyrant. And what’s worse, Jedao and Kujen are being hunted by an enemy who knows more about Jedao and his crimes than he does himself…

Edition : Solaris

 

Mon Avis : L’année dernière je me lançais, suite à mon challenge personnel concernant le prix Hugo 2017, dans la lecture du premier tome de cette série. J’avais été rapidement emporté par une histoire de SF militaire percutante, offrant un univers original, différent et porté par des personnages marquants et charismatiques. Le second tome m’avait aussi offert un très bon moment de lecture, proposant de nouveaux rebondissements et de nouvelles surprises et amenant un fil rouge plus complexe. (Chronique Tome 1, Tome 2). C’est donc sans surprise qu’au moment de la sortie de ce troisième et dernier tome de ce cycle, je l’ai rapidement fait entrer dans ma PAL pour le découvrir. Concernant l’illustration de couverture elle dans les mêmes tons que les précédentes et je la trouve très sympathique.

The Medusa Cycle Book 1, Medusa Uploaded – Emily Devenport

Résumé : My name is Oichi Angelis, and I am a worm.
They see me every day. They consider me harmless. And that’s the trick, isn’t it?
A generation starship can hide many secrets. When an Executive clan suspects Oichi of insurgency and discreetly shoves her out an airlock, one of those secrets finds and rescues her.
Officially dead, Oichi begins to rebalance power one assassination at a time and uncovers the shocking truth behind the generation starship and the Executive clans.

Edition : Tor

 

Mon Avis : Ce roman n’a pas terminé dans ma PAL par hasard. J’en entends parler depuis quelques mois maintenant, tout simplement depuis que Tor a annoncé la couverture sur son blog courant 2017. J’avoue j’ai rapidement été attiré par le résumé qui, je trouve, s’avère efficace, sans trop en dévoiler, tout en restant assez mystérieux pour titiller ma curiosité.  Surtout que, avant de me lancer dans la lecture de ce livre, je ne connaissais rien de l’autrice. Par conséquent c’était quand même un peu un pari de faire entrer ce livre dans ma PAL. Concernant la couverture, illustrée par Sam Weber, je la trouve très sympathique.

Binti, Book 1 – Nnedi Okorafor

Résumé : Her name is Binti, and she is the first of the Himba people ever to be offered a place at Oomza University, the finest institution of higher learning in the galaxy. But to accept the offer will mean giving up her place in her family to travel between the stars among strangers who do not share her ways or respect her customs.
Knowledge comes at a cost, one that Binti is willing to pay, but her journey will not be easy. The world she seeks to enter has long warred with the Meduse, an alien race that has become the stuff of nightmares. Oomza University has wronged the Meduse, and Binti’s stellar travel will bring her within their deadly reach.
If Binti hopes to survive the legacy of a war not of her making, she will need both the gifts of her people and the wisdom enshrined within the University, itself – but first she has to make it there, alive.

Edition : Tor

 

Mon Avis : Il y a peu j’ai découvert Qui a Peur de la Mort de Nnedi Okorafor qui m’avait offert un excellent moment de lecture à travers un récit engagé, maîtrisé, marquant, percutant, avec des personnages humains et qui ne laissaient pas indifférent. Il était donc logique que je me laisse tenter par d’autres écrits de l’autrice, qui plus est en sachant qu’elle était une invitée des dernières Imaginales. J’ai donc jeté mon dévolu sur le premier tome du cycle Binti qui avait globalement d’excellents retours anglophones, qui a gagné un prix Nebula et Hugo dans la catégorie Novella, mais qui par contre a connu quelques retours un peu plus mitigés pour ceux qui l’ont lu en France. J’ai ainsi décidé de lui laisser une chance et de me faire mon propre avis de ce premier tome.

L’Archipel du Rêve – Christopher Priest

Résumé : Par-delà le Vortex s’étend l’Archipel du Rêve, une zone de neutralité épargnée par la guerre qui ravage les continents austral et septentrional. On rêve d’y séjourner et, une fois prisonnier de ses langueurs tropicales, on ne peut que succomber à une autre forme de guerre, celle que se livrent les êtres de désir et de pouvoir qui peuplent les différentes îles de cette géographie hors du temps, singulière en diable.

Edition : Denoël Lunes d’Encre (7 nouvelles)
Poche : Folio SF (9 nouvelles)

 

Mon Avis : Cela faisait un petit moment que je ne m’étais pas lancé dans un livre de Christopher Priest. Après vérification sur le blog cela faisait même plus de un an et demi. Il a fallu que je croise l’auteur lors du dernier festival des Imaginales pour me dire que j’avais encore certains de ses livres dans ma PAL, d’autres à acquérir, et qu’il serait intéressant que je les lise. Mon choix s’est donc porté, un peu par hasard, sur L’Archipel du Rêve dont j’ai déjà un peu visité les contrées à travers d’autres écrits de l’auteur. Concernant la couverture, illustrée par Manchu, je la trouve très réussie. Concernant ce livre il s’agit d’un recueil de sept nouvelles (j’ai lu la version Denoël et non Folio SF qui comporte deux nouvelles supplémentaires si je ne me trompe pas) et, pour une fois, je ne vais pas chroniquer chacun des textes, mais plus une chronique plus globale tant je trouve qu’une certaine cohérence ce dégage, même si c’est peut-être moins exhaustif.

Le Vivant – Anna Starobinets

Résumé : Dans un futur lointain, les humains sont connectés via des implants à un réseau commun. Ensemble, ils forment un organisme unique, le « Vivant ». La mort n’y existe pas : dès qu’un individu est « mis sur pause », son code génétique renaît dans un nouveau corps. Le nombre d’humains est constant – trois milliards : Le Vivant vacille sur ses bases lorsque l’impensable survient un homme naît. Il est sans code, sans patrimoine, il n’est la réincarnation de personne. On l’appelle Zéro. Placé sous étroite surveillance, il devra trouver des réponses sur son identité dans un monde réputé parfait…

Edition : Mirobole
Poche : Pocket

 

Mon Avis : J’ai découvert les écrits d’Anna Starobinets il y a quelques années maintenant avec ma lecture de son recueil de nouvelles : Je Suis la Reine. Ce livre, composé de six textes, m’avait offert un très bon moment de lecture dans l’ensemble, principalement à travers un fantastique prenant, des histoires percutantes et une ambiance étrange et envoutante (ma chronique ici). J’avais alors décidé de faire entrer d’autres écrits de l’autrice dans ma PAL, mais comme souvent il m’a fallu du temps pour les en sortir. C’est le passage d’Anna Starobinets aux dernières Imaginales qui m’a ainsi rappelé à leur donner une chance et c’est donc comme cela que Le Vivant a terminé entre mes mains. A noter une couverture, comme toujours avec Mirobole, étrange, sobre et qui a un petit je ne sais quoi d’accrocheur.

The Rig – Roger Levy

Résumé : On a desert planet, two boys meet, sparking a friendship that will change human society forever.
On the windswept world of Bleak, a string of murders lead a writer to a story with unbelievable ramifications.
One man survives the vicious attacks, but is left with a morbid fascination with death; the perfect candidate for the perilous job of working on a rig.
Welcome to the System. Here the concept of a god has been abandoned, and a new faith pervades: AfterLife, a social media platform that allows subscribers a chance at resurrection, based on the votes of other users.
So many Lives, forever interlinked, and one structure at the centre of it all: the rig.

Edition : Titan Books

 

Mon Avis : Avant de me lancer dans la lecture de ce roman, j’avoue je ne connaissais rien de l’auteur. Roger Levy est un auteur de Science-Fiction qui écrit peu, avec seulement quatre romans depuis 2001, et que j’ai découvert un peu par hasard avec ce roman The Rig. En fait j’ai été rapidement intrigué par la couverture, illustrée par Julia Lloyd, et que je trouvais franchement superbe. Je me suis alors penché sur la quatrième de couverture que j’ai trouvé très intrigant et j’ai alors, un peu par coïncidence, vu passer une chronique de ce livre qui a terminé de me convaincre. Il a donc rapidement terminé dans ma PAL et j’ai décidé de lui laisser tout aussi rapidement une chance. Si vous comptez le lire en VO, l’anglais utilisé n’est pas obligatoirement le plus facile et, sans dire non plus qu’il est d’une grande complexité loin de là, il demandera un peu d’adaptation surtout que l’auteur joue avec la langue.

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