Résumé :« Est arrivé un jour où la fiction n’a pas suffi. »
Aussi curieux que cela puisse paraître, il me semble qu’une des forces de l’œuvre de Mélanie Fazi est que précisément la fiction n’a jamais suffi. Qu’elle a toujours su trouver d’autres biais pour exprimer cette tension personnelle, intime, dont elle nous fait part dans ce livre, et qui est matière de toute sa création.

Extrait de la postface de Léo Henry

Edition : Dystopia

 

Mon Avis : Comme vous le savez, si vous suivez ce blog depuis un certain temps, je suis un grand admirateur des écrits de Mélanie Fazi qui est un peu une voix à part, je trouve, dans l’imaginaire français. Plus novelliste que romancière (elle n’a que deux romans de publiés si je ne me trompe pas), elle a toujours réussi à me captiver et me toucher à travers des textes humains, prenants, étranges d’une certaine façon, à travers un fantastique que j’ai toujours trouvé captivant. Mais cette fois l’autrice revient avec, non pas avec une nouvelle ou un roman, mais un texte de non-fiction. Concernant la couverture, elle a un petit je ne sais quoi que je trouve très accrocheur.