Catégorie : Fantasy Page 8 of 69

The Builders – Daniel Polansky

Résumé : A missing eye.
A broken wing.
A stolen country.
The last job didn’t end well.

Years go by, and scars fade, but memories only fester. For the animals of the Captain’s company, survival has meant keeping a low profile, building a new life, and trying to forget the war they lost. But now the Captain’s whiskers are twitching at the idea of evening the score.

Edition : Tor

 

Mon Avis : Avant de me plonger dans cette novella j’avais déjà lu des écrits de Daniel Polansky, en effet il y a quelques années je m’étais plongé dans le premier roman de son cycle (dont la suite n’a jamais connu de publication en France) : Le Baiser du Rasoir. Ce roman m’avait ainsi laissé sur ma faim, avec un background très intéressant mais avec un léger manque de profondeur et une intrigue policière qui offrait des mystères parfois trop prévisibles (ma chronique ici). J’aurai pu passer à côté de cette novella, mais voilà au vu des retours plus que positifs que j’ai vu passer sur différents blogs et lecteurs que je suis régulièrement, j’ai été rapidement intrigue. J’ai donc décidé de faire entre ce petit livre dans ma PAL et de lui offrir une chance. Puis, il faut dire aussi que la couverture, illustrée par Richard Anderson, est, je trouve, superbe.

Le Chant des Epines Tome 3, Le Royaume Brisé – Adrien Tomas

Résumé : Au lendemain de la victoire de l’empire de Seï sur le royaume du Nord, les Épines et Ithaen pansent leurs blessures. Toutefois, cette guerre implique bien plus d’acteurs qui œuvrent dans l’ombre.
À l’aube de grands bouleversements qui vont ébranler les fondations de l’Histoire même, les alliances se dénouent et les accords les plus inattendus se créent. Des sacrifices démesurés seront exigés alors que de sinistres vérités seront révélées, pour précipiter les Épines et Ithaen vers une fin magistrale et terrible qui scellera leurs destins, et avec eux celui du Sixième Royaume.

Edition : Mnémos

 

Mon Avis : J’ai découvert Adrien Tomas avec son premier roman La Geste du Sixième Royaume, puis La Maison du Mage, qui se situait tous les deux dans le même univers. Ces deux livres m’avaient alors offerts de très bons moments de lectures à travers des histoires et des intrigues denses, entraînantes et efficaces (chronique ici et ). Ce fut donc sans surprise qu’il y a un peu moins de deux ans maintenant je me sois lancé dans la découverte du premier tome de cette trilogie présentée comme une préquelle à La Geste du Sixième Royaume. Pourtant, malgré un premier volume plutôt sympathique, le second n’avait pas réussi à complètement m’accrocher, partant un peu trop dans tous les sens sans vraiment réussir à densifier son récit, (Tome 1, Tome 2). J’ai un peu hésité avant de me lancer dans ce troisième et dernier tome, mais finalement j’ai décidé de découvrir comment terminait ce cycle et ainsi me faire un avis sur le cycle complet. Concernant la couverture, illustrée par Alain Brion, je la trouve très jolie.

Strange The Dreamer Book 1, Strange The Dreamer – Laini Taylor

Résumé : The dream chooses the dreamer, not the other way around—and Lazlo Strange, war orphan and junior librarian, has always feared that his dream chose poorly. Since he was five years old he’s been obsessed with the mythic lost city of Weep, but it would take someone bolder than he to cross half the world in search of it. Then a stunning opportunity presents itself, in the person of a hero called the Godslayer and a band of legendary warriors, and he has to seize his chance or lose his dream forever.
What happened in Weep two hundred years ago to cut it off from the rest of the world? What exactly did the Godslayer slay that went by the name of god? And what is the mysterious problem he now seeks help in solving?
Welcome to Weep.

 

Edition : Hodder & Stoughton

 

Mon Avis : Concernant Strange The Dreamer c’est le genre de livre qui a clairement fini dans ma PAL sur un coup de tête. Je ne connaissais rien de Laini Taylor avant ce roman. J’avoue, j’ai été rapidement tenté par sa couverture, illustrée par Jantine Zandbergen, que je trouve franchement magnifique et qui donnait envie d’en découvrir plus. Si on ajoute à cela un résumé qui s’avérait intrigant, j’ai alors rapidement passé outre le fait qu’il s’agissait plus d’un récit Jeune Adulte et je l’ai rapidement fait entrer dans ma PAL. Bon, après, comme souvent, il m’a fallu du temps pour l’en faire sortir, mais il va rapidement falloir que je fasse quelque-chose concernant ma PAL qui devient de plus en plus incontrôlable.

Le Dieu Oiseau – Aurélie Wellenstein

Résumé : Une île. Dix clans. Tous les dix ans, une compétition détermine quel clan va dominer l’île pour la décennie à venir. Les perdants subiront la tradition du « banquet » : une journée d’orgie où les vainqueurs peuvent réduire en esclavage, tuer, violer, et même dévorer leurs adversaires.
Il y a dix ans, Faolan, fils du chef de clan déchu, a assisté au massacre de sa famille. Sauvé par le fils du chef victorieux, Torok, il est depuis lors son esclave et doit subir ses fantaisies perverses. Sa seule perspective d’avenir est de participer à la compétition de « l’homme-oiseau », afin de renverser l’équilibre des pouvoirs en place et de se venger.
Qui du maître ou de l’esclave va remporter la bataille ? Quel enjeu pour les habitants de l’île ? Quel est le prix à payer pour la victoire ?

 

Edition : Scrinéo

 

Mon Avis : J’ai découvert Aurélie Wellenstein il y a quelques années maintenant principalement avec son roman Le Roi des Fauves, qui m’avait offert un très bon moment de lecture à travers un récit âpre, sombre, efficace et bien porté par des personnages humains et intéressants (ma chronique ici). Depuis, que ce soit avec Les Loups Chantants (chronique ) ou La Mort du Temps (chronique ici), l’autrice a toujours réussi à offrir des récits captivants, plus ou moins percutants et entraînants. C’est donc tout à fait logique que je me sois rapidement laissé tenter par sa dernière publication : Le Dieu Oiseau. A noter la couverture, illustrée par Aurélien Police, que je trouve magnifique et qui reprend clairement l’essence du récit.

Les Dieux Sauvages Tome 2, Le Verrou du Fleuve – Lionel Davoust

Résumé : L’armée démoniaque, mi-chair mi-machine, du dieu Aska est aux portes de Loered, la ville sur laquelle repose la défense et la stabilité du royaume – le Verrou du Fleuve.
Le Verrou doit tenir, ou la Rhovelle est perdue. Mériane, à la tête de maigres renforts, compte bien honorer sa propre prophétie et libérer la ville. Mais quand les hommes se mêlent de contrarier les Dieux, elle en est réduite à limiter les dégâts.
Face au désespoir qui s’installe, elle incarne le seul espoir du peuple, et l’instinct de survie fait taire, pour un temps, les dissensions. Pour autant, les manigances politiques se poursuivent en coulisses, et la guerre commence à peine que certains préparent déjà l’après.
Mais sur la route du Verrou du Fleuve, son mythe s’écrira avant tout dans le sang, la terreur et la peine.

Edition : Critic

 

Mon Avis : Il y a un peu moins d’un an maintenant, je me suis lancé dans le premier tome de ce cycle situant dans (pour moi en tout cas) l’excellente création de l’auteur : Évanégyre. J’avoue, depuis ma découverte de cet univers avec La Volonté du Dragon, j’adore y replonger dedans à travers les différents textes proposés, surtout qu’il a toujours sur apporter une large diversité, aussi bien dans les personnages que dans les intrigues, à son monde le tout sur un éventail temporel assez large ce qui lui permet de brasser différents genres et différents aspects visuels. Cette fois Lionel Davoust c’est lancé dans un gros morceau, puisqu’après les nouvelles et novella, puis un roman il a décidé de prolonger Évanégyre avec un cycle complet qui vient, d’une certaine façon, revisiter le mythe de Jeanne D’Arc. Après un premier tome très réussi, j’avais donc hâte de savoir ce qu’il allait nous proposer dans cette suite. Concernant la couverture, illustrée par Alain Brion, je la trouve très jolie. Je soulignerai par contre un soucis d’édition, en effet de nombreux espaces paraissent avoir été « oublié », ce qui fait que parfois des mots sont collés les uns aux autres, pas assez pour que ce soit bloquant de mon côté, mais assez pour que ça se remarque et se révèle légèrement frustrant.

The Memoirs of Lady Trent Book 5, Within the Sanctuary of Wings – Marie Brennan

Résumé : After nearly five decades (and, indeed, the same number of volumes), one might think they were well-acquainted with the Lady Isabella Trent–dragon naturalist, scandalous explorer, and perhaps as infamous for her company and feats of daring as she is famous for her discoveries and additions to the scientific field.
And yet–after her initial adventure in the mountains of Vystrana, and her exploits in the depths of war-torn Eriga, to the high seas aboard The Basilisk, and then to the inhospitable deserts of Akhia–the Lady Trent has captivated hearts along with fierce minds. This concluding volume will finally reveal the truths behind her most notorious adventure–scaling the tallest peak in the world, buried behind the territory of Scirland’s enemies–and what she discovered there, within the Sanctuary of Wings.

Edition : Tor Books

 

Mon Avis : Bon, je viens de me rendre compte que j’ai commencé la lecture de ce cycle il y a maintenant presque deux ans. Que le temps passe vite, j’avais l’impression que c’était il y a tout juste un an. Donc, après deux ans, voilà la conclusion d’un cycle qui m’a offert pour le moment un très bon moment de lecture, principalement dans la découverte de l’héroïne, Lady Trent, mais aussi dans l’univers et l’histoire des dragons que l’on découvre (chronique du Tome 1, Tome 2, Tome 3, Tome 4). J’avais donc hâte de voir ce que Marie Brennan nous réservait pour ce dernier tome. À noter la couverture ainsi que les illustrations intérieures, réalisées par Todd Lockwodd, qui sont toujours aussi magnifiques et apportent un vrai plus au livre. Par contre, comme toujours avec une chronique d’un tome 1+X dans un cycle, je risque de spoiler les tomes précédents.

Page 8 of 69

© 2010 - 2024 Blog-o-Livre