Catégorie : Fantasy Page 7 of 69

Satinka – Sylvie Miller

Résumé : Jenny Boyd, serveuse dans un saloon de Colfax, petite ville blottie dans les contreforts de la Sierra Nevada, délaisse ses études au grand désarroi de sa mère. Elle est bien plus fascinée, depuis l’enfance, par la grande ligne de chemin de fer transcontinentale, construite au dix-neuvième siècle. La nuit, les trains sifflants hantent ses rêves, des rêves si crédibles quelle finit par les croire réels !
Alors, quand Jenny est prise de violentes visions, elle s’escrime à comprendre les forces qui la tourmentent. Aidée par son ami d’enfance, elle devra remonter le temps et affronter d’implacables adversaires…

Edition : Critic

 

Mon Avis : J’avoue, je ne me suis pas lancé dans la lecture de ce roman par hasard. Je connaissais déjà les écrits de Sylvie Miller principalement à travers sa collaboration avec Philippe Ward sur la série Lasser, Détective des Dieux. Il était donc logique que, lorsque j’ai appris qu’elle publiait ce qui, si je ne me trompe pas, est son premier roman solo, je le fasse très rapidement entrer dans ma PAL. Surtout que le livre traite d’une part d’histoire que je connais peu : la construction de la ligne de chemin de fer transcontinentale. J’étais ainsi très intéressé de savoir comment l’autrice allait traité le sujet. Alors comme souvent, c’est vrai, il a trainé un peu dans ma PAL, il faut dire que dernièrement j’ai plus de facilité à sortir ma liseuse que des livres papier. En ce qui concerne la couverture, illustrée par Xavier Collette, elle est vraiment très jolie. Il est à noter que ce récit a gagné le prix Bob Morane 2018 du roman français.

Que Passe l’Hiver – David Bry

Résumé : Stig vient d’avoir vingt ans, l’âge de porter une épée et de se rendre — enfin ! — sur le Wegg, l’étrange montagne où réside son souverain, le roi de la Clairière. Mais son premier solstice d’hiver ne se déroule pas comme il l’avait imaginé. À peine le jeune seigneur est-il arrivé que la mort répond aux augures néfastes et que les fils enchevêtrés du destin tissent un avenir que personne, ni homme ni dieu, semble pouvoir prédire.
Menacé sans qu’il en comprenne la raison, Stig aura fort à faire pour découvrir ce qui se trame dans l’ombre des festivités, protéger ceux qu’il aime… et même survivre.
Y parviendra-t-il ?

Edition : L’Homme sans Nom

 

Mon Avis : Ce livre, il a terminé sa course dans ma PAL un peu sur un coup de tête je dois bien admettre. En effet, lors du festival Les Futuriales de 2017 j’avais été captivé par sa couverture, illustrée par Simon Goinard, qui est, je trouve, franchement superbe. Je me suis rapidement retrouver à feuilleter ce livre, mais aussi à discuter avec l’auteur qui, en plus de proposer un résumé intéressant, m’a convaincu de le faire entrer dans ma bibliothèque. Alors après, comme souvent avec ma PAL de plus en plus incontrôlable, il m’a fallu un moment avant de lui laisser une chance, mais j’ai décidé il y a peu de le découvrir.

The Waning Moon Duology Book 2, The Sisters of the Crescent Empress – Leena Likitalo

Résumé : With the Crescent Empress dead, a civil war has torn the empire asunder. No one seems able to stop the ruthless Gagargi Prataslav. The five Daughters of the Moon are where he wants them to be, held captive in an isolated house in the far north.
Little Alina senses that the rooms that have fallen in disrepair have a sad tale to tell. Indeed, she soon meets two elderly ladies, the ghosts of the house’s former inhabitants.
Merile finds the ghosts suspiciously friendly and too interested in her sisters. She resolves to uncover their agenda with the help of her two dogs.
Sibilia isn’t terribly interested in her younger sisters’ imaginary friends, for she has other concerns. If they don’t leave the house by spring, she’ll miss her debut. And while reading through the holy scriptures, she stumbles upon a mystery that reeks of power.
Elise struggles to come to terms with her relationship with Captain Janlav. Her former lover now serves the gagargi, and it’s his duty to keep the daughters confined in the house. But if the opportunity were to arise, she might be able sway him into helping them flee.
Celestia is perfectly aware of the gagargi coming to claim her rather sooner than later. She’s resolved to come up with a plan to keep her sisters safe at any cost. For she knows what tends to happen to the sisters of the Crescent Empress.

Edition : Tor

 

Mon Avis : Il y a quelques mois je me suis lancé dans la découverte de ce diptyque de Fantasy qui se basait sur la révolution Russe de 1917, ce qui changeait selon moi des récits de Fantasy médiévaux, et dont le premier tome m’avait offert un très agréable moment de lecture, même si certains points m’avaient paru pas complètement maîtrisés. Il était donc logique que je me laisse rapidement tenté par la suite et fin de ce cycle en faisant entrer ce second tome dans ma PAL. Concernant la couverture, toujours illustrée par Anna et Elena Balbusso, je la trouve très réussie et qui colle parfaitement à l’ambiance du récit.

Blackwing Tome 1, La Marque du Corbeau – Ed McDonald

Résumé : Sous son ciel brisé, la Désolation est une vaste étendue de terre ravagée, née quand la Machine, l’arme la plus puissante du monde, fut utilisée contre les immortels Rois des profondeurs. Au cœur de ce désert, grouillant de magie corrompue et de spectres malveillants, les Rois et leurs armées attendent leur heure…
Pour Ryhalt Galharrow, la Désolation n’a pas de secrets. Chasseur de primes aguerri, il est chargé de retrouver une femme aux pouvoirs mystérieux, qui semble avoir mis au jour un inquiétant secret. Jadis, cette femme et lui se connaissaient bien. Voilà qu’ils se redécouvrent au milieu d’une conspiration qui menace de détruire tout ce qui leur est cher, et qui pourrait mettre un terme à la trêve fragile de la Machine…

Edition : Bragelonne

 

Mon Avis : Blackwing est une série dont j’entends des échos depuis sa publication en VO courant de l’été 2017. Que ce soit entre les excellents retours que j’ai vu passé sur les blogs anglais que je suis régulièrement, l’excellente note sur goodreads, mais aussi les articles sur des blogs français qui ont bravé le pas et l’ont lu en Anglais. Tous ces excellents retours m’ont ainsi donné envie de découvrir ce roman, même si bien entendu c’est toujours à prendre avec des pincettes, n’ayant pas toujours le même avis que la majorité. Ajouter à cela un résumé plutôt accrocheur ainsi qu’une couverture VF, illustrée par Mikaël Bourgouin, que je trouve très jolie, il a donc terminé rapidement dans ma bibliothèque.

L’Empire du Léopard – Emmanuel Chastellière

Résumé : 1870. Après une épuisante campagne militaire, le royaume du Coronado a conquis l’essentiel de la péninsule de la Lune-d’Or. Seul l’empire du Léopard, perdu dans les montagnes, lui résiste encore.
Dans l’attente des renforts promis par sa hiérarchie, le colonel Cérès Orkatz – surnommée la Salamandre – peine à assurer l’ordre sur place, la faute à un vice-roi bien intentionné mais trop faible. Dans ce monde de jungles et de brume, les colons venus faire fortune s’épuisent et meurent à petit feu, même si certains au sein du régiment espèrent toujours découvrir la mythique cité de Tichgu, qui abriterait selon les légendes locales la fontaine de Jouvence.
Alors qu’une éclipse lunaire sans pareille approche, Cérès va devoir tenter d’assurer la survie de ses hommes, au mépris peut-être de ses allégeances…

Edition : Critic

 

Mon Avis : Pour ceux qui ne connaîtraient pas Emmanuel Chastellière il est l’un des fondateurs du site Elbakin qui est un peu devenue la référence concernant toutes les informations sur la Fantasy et l’Imaginaire en général. Il est aussi connu pour son travail en tant que traducteur et, depuis peu, il se fait une place en tant qu’auteur puisque L’Empire du Léopard est son troisième roman publié. Pour ma part j’ai été très emballé par son premier roman, Le Village (chronique ici), et par son recueil de nouvelle Célestopol (chronique ) sur l’histoire de cette ville sur la lune. Deux livres qui m’avaient fait passé un très bon moment de lecture, il était donc logique que je me laisse facilement tenter par cette dernière publication, qui plus est dans une Fantasy assez rare par chez nous encore. Concernant la couverture, illustrée par Pierre Droal, elle est sympathique, mais a un petit côté figé maintenant que je la vois publiée, contrairement à l’impression que j’en avais quand elle a été présentée sur le site de l’auteur.

Utopiales 2017, Anthologie – Collectif

Résumé : Le temps de lire cette anthologie, vous serez parti sur la Lune où survit la dernière colonie humaine après que la Terre s’est retrouvée sous la glace, vous aurez discuté de l’égalité hommes-femmes sur un sujet qui vous surprendra, vous vous serez opposé à un texte sur l’avortement, vous aurez renoué avec la légende arthurienne, vous aurez attendu le retour de l’amour de votre vie, découvert en avantpremière une auteur chinoise, et affronté la cruauté des follets et des gnomes.

Edition : ActuSF

 

Mon Avis : C’est maintenant devenu une tradition depuis quelques années, à chaque fois que je passe dans un festival et qu’il en existe une anthologie associée je repars avec l’édition de l’année et, si possible, dédicacée. Concernant l’anthologie des Utopiales c’est aussi pouvoir se lancer dans une Lecture Commune avec d’autres lectrices et lecteurs. Cette année changement, en plus de MarieJuliet ce recueil a été lu avec Ptitetrolle qui s’est jointe à notre petite « secte ». Sauf que, pour cette fois, je risque d’être le seul à publier mon avis, sauf si mes collègues de LC trouvent de la motivation. Pour cette saison 2017 le thème était le temps et ce livre est composé de 12 nouvelles. Concernant la couverture, illustrée par Laurent Durieux, elle s’avère très sympathique et répond au thème contrairement, comme assez souvent, à une majorité des textes de l’Anthologie. On notera aussi avec étonnement la disparition de la préface qui était pourtant annoncé sur le site de l’éditeur ainsi qu’un petit panel de texte primés dont un prix hugo de la meilleur nouvelle pour Pékin Origami.

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