Catégorie : Fantasy Page 18 of 69

Les Chevaux Célestes – Guy Gavriel kay

Résumé : On donne à un homme un coursier de Sardie pour le récompenser immensément. On lui en donne quatre ou cinq pour l’élever au-dessus de ses pairs, lui faire tutoyer l’élite – et lui valoir la jalousie, parfois mortelle, de ceux qui montent les chevaux des steppes. L’impératrice consort du Tagur venait de lui accorder deux cent cinquante chevaux célestes. À lui, Shen Tai, fils cadet du général Shen Gao, en reconnaissance de son courage, de sa dévotion et de l’honneur rendu aux morts de la bataille du Kuala Nor. On me tuera pour s’en emparer. On me réduira en charpie pour mettre la main sur ces chevaux avant même que j’aie regagné la capitale. » Deux cent cinquante sardiens, introduits par son entremise dans un empire qui éprouvait pour ces montures un désir insatiable, qui gravait à leur image des blocs de jade et d’ivoire, qui associait les mots de ses poètes au tonnerre de leurs sabots mythiques. Le monde vous offre parfois du poison dans une coupe incrustée de pierreries, ou alors des présents stupéfiants. Il n’est pas toujours facile de distinguer l’un de l’autre.

Edition : L’Atalante

 

Mon Avis : Pour ceux qui suivent ce blog depuis un bon moment, vous devez savoir que Guy Gavriel Kay fait parti de ces auteurs dont les récits m’ont toujours laissé un plaisir de lecture plus que positif et dont je me plonge assez facilement dans ses univers. Les Chevaux Célestes a pourtant eu du mal à sortir de ma PAL, un peu effrayé par le pavé qui était proposé et surtout étant dans une période où je traine un manque de sommeil flagrant, j’avais peur de ne pas arriver à entrer complètement dans l’histoire. Sauf que voilà lors des dernières Utopiales j’ai fait entrer dans ma PAL Le Fleuve Céleste qui est lié à ce roman, il fallait donc que je me motive pour le sortir de ma PAL. Ce qui est chose faite. Concernant l’illustration de la couverture, je la trouve bien sympathique, sobre et attrayante.

Fleurs au Creux des Ruines – Chloé Chevalier

fleurs-au-creux-des-ruinesRésumé : Près des forêts anciennes où chassent les premiers hommes, dans le roc des montagnes, on creuse les fondations des royaumes à venir. On y rêve de concorde, d’arts et d’amour, on y bâtit palais, ponts et destinées. Les siècles passent.
Ores vient la fin des temps, le sol tremble, la mer boue, et s’écroulent les cités qu’on croyait éternelles, en une pluie de poussière plus sombre que le jour. Mais des cendres renaît l’espoir, et s’amorce un nouveau cycle. Fleurs au creux des ruines nous conte l’histoire du Demi-Loup.

Edition : Hélios

 

Mon Avis : Chloé Chevalier m’avait agréablement surpris avec les deux premiers tomes de son cycle sur Le Demi-Loup qui m’offraient de très bons moments de lectures, proposant un Fantasy dense, poétique et franchement efficace (Chronique du Tome 1, Tome 2). Par conséquent je n’ai pas attendu longtemps avant de faire rentrer dans ma PAL et me lancer dans la lecture de ce petit recueil de nouvelles qui a pour but densifier l’univers proposé par l’auteur. Il permet aussi de patienter avant la sortie du troisième tome dont la publication est normalement prévue courant de l’année 2017 (j’ai lu un prévisionnel pour Automne 2017 pour être plus précis, mais rien de validé je crois). Concernant la couverture, toujours illustrée par Melchior Ascaride, je la trouve comme toujours très réussie. A noter que ce livre contient quatre nouvelles.

Lud-en-Brume – Hope Mirrlees

lud-en-brumeRésumé : Aux frontières de la Faërie, Lud-en-Brume est une cité prospère et paisible. Mais les secrets hérités du royaume voisin ne sauraient rester indéfiniment dans l’ombre. Les fruits féeriques, drogue nocive et bannie de la société luddite, circulent dans la région. Ranulph semble en être victime, et son père, le Maire Nathaniel Chantecler, qui faisait jusqu’à maintenant régner la Loi d’une poigne molle et tranquille, se doit bientôt de faire l’impensable pour sauver son fils et sa cité. Mais heureusement pour Lud-en-Brume, Nathaniel est doté d’un esprit des plus pragmatiques… et d’une tête dans la lune.

Edition : Callidor

 

Mon Avis : Cela fait un petit moment que je souhaitais découvrir la maison d’éditions Callidor, motivée par la littérature de l’imaginaire, qui propose de mettre en avant des auteurs disparus et, soit peu connus, soit plus édités depuis un long moment. Je me suis ainsi laissé tenté par ce Lud-en-Brume, car présenté par Neil Gaiman comme l’un des romans qui a fortement influencé son imaginaire et ses écrits. J’avais donc hâte de voir ce que ce classique de la fantasy allait bien pouvoir proposer. En tout cas je trouve les illustrations de ce livre, que ce soit celles intérieurs comme celle de la couverture, réalisées par Hugo de Faucompret franchement magnifiques.

Aeternia Tome 2, L’Envers du Monde – Gabriel Katz

aeternia-t2-lenvers-du-mondeRésumé : C’est l’heure du duel décisif entre les deux camps qui s’entredéchirent pour la cité mère de Kyrenia. Deux champions vont s’affronter sur le sable de l’arène, un combat qui peut faire basculer le destin d’un peuple entier. Mais quelques heures à peine avant le coup de gong, le culte du Prophète a perdu son champion. Qui affrontera le Corbeau, redoutable gladiateur du Temple ?
Déchirée par les luttes de pouvoir, la plus grande cité du monde est au bord de la guerre civile. Le culte millénaire de la Grand déesse, menacé par celui d’Ochin qui se répand comme un raz-de-marée, n’a plus qu’un recours : la violence. Entre complots, combats et trahisons, chacun lutte pour sauver sa place et parfois sa vie…

Edition : Scrinéo

 

Mon Avis : Il y a un peu plus d’un an je me suis lancé dans la lecture du premier tome de ce diptyque, qui m’avait offert un moment de lecture assez sympathique, même si j’avoue j’en attendais plus (ma chronique ici). J’ai donc mis un peu de temps avant de me lancer dans cette suite, même si la conclusion du tome 1 qui se terminait sur un cliffhangher donnant envie d’en apprendre plus. Concernant la couverture, illustrée par Aurélien Police, je la trouve réussie et accrocheuse.

L’Epée de l’Hiver – Marta Randall

lepee-de-lhiverRésumé : Dans le pays glacé de Cherek, lord Gambim de Jentesi va mourir, et le chaos menace.
Durant les quatre décennies de sa toute-puissance, Gambin a tenu sa province dans une main de fer. Tandis que complotent ses quatre héritiers possibles, le peuple de Cherek observe avec inquiétude les péripéties de la passation de pouvoir. Car si la puissance de Gambin passe tout entière à ses héritiers, Cherek risque de voir compromises les promesses d’un avenir meilleur et de retomber dans l’obscurantisme. Dans celte atmosphère empoisonnée, un tissu d’intrigues se tisse autour de Lyeth, femme-lige du seigneur de Jentesi, qui déteste l’homme cruel qu’elle a servi.

Edition : Les Moutons Electriques

 

Mon Avis : J’avoue, la première chose qui m’a fait me pencher sur ce roman, c’est sa couverture illustrée par Melchior Ascharide, que je trouve franchement réussie et qui attire le regard que ce soit dans son image, ses couleurs comme dans une certaine sobriété qui s’en dégage. Ensuite, j’avoue que l’idée de ressortir des récits de Fantasy ayant disparu des rayons (ce livre étant  initialement sorti en 1983 en VO et 1986 en VF) est intéressante. Enfin le résumé, même s’il a un côté classique, m’a donné envie de lui donner une chance.

The Dandelion Dynasty Book 1, The Grace of Kings – Ken Liu

the-grace-of-kingsRésumé : Two men rebel together against tyranny—and then become rivals—in this first sweeping book of an epic fantasy series from Ken Liu, recipient of Hugo, Nebula, and World Fantasy awards.
Wily, charming Kuni Garu, a bandit, and stern, fearless Mata Zyndu, the son of a deposed duke, seem like polar opposites. Yet, in the uprising against the emperor, the two quickly become the best of friends after a series of adventures fighting against vast conscripted armies, silk-draped airships, and shapeshifting gods. Once the emperor has been overthrown, however, they each find themselves the leader of separate factions—two sides with very different ideas about how the world should be run and the meaning of justice.

Edition : Saga Press

 

Mon Avis : Pour ceux qui suivent régulièrement ce blog, vous devez vous être rendu compte que je suis tombé sous le charme de la plume de Ken Liu qui, à travers ses nombreuses nouvelles et novellas publiées en France, a toujours réussi à me toucher (retrouvez mes chroniques ici). Donc quand j’ai appris que l’auteur se lançait dans de la Fantasy, qui plus à travers un cycle, j’avoue j’ai rapidement craqué et fait entrer ce premier tome dans ma PAL histoire de voir ce qu’il allait bien pouvoir proposer. Bon, après il a un peu traîné dans ma bibliothèque, mais il faut admettre un roman de près de 650 pages en anglais, j’ai certes toujours une certaine hâte à le découvrir, mais d’un autre côté un peu peur aussi devant le pavé (je cache d’ailleurs Words of Radiance pour les mêmes raisons mais je vais me motiver, je le promets). La suite devant être publiée prochaine m’a motivé à le découvrir. Concernant la couverture  je la trouve sobre et réussie.

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