Auteur/autrice : BlackWolf Page 8 of 201

The Subjugate – Amanda Bridgeman

Résumé : In a small religious community rocked by a spree of shocking murders, Detectives Salvi Brentt and Mitch Grenville find themselves surrounded by suspects. The Children of Christ have a tight grip on their people, and the Solme Complex neurally edit violent criminals – Subjugates – into placid servants called Serenes. In a town where purity and sin, temptation and repression live side by side, everyone has a motive. But as the bodies mount up, the frustrated detectives begin to crack under the pressure: their demons are coming to light, and who knows where that blurred line between man and monster truly lies.

Edition : Angry Robot

 

Mon Avis : Je me suis lancé dans la lecture de ce roman un peu sur un coup de tête. C’est bien simple, je ne connaissais rien de l’autrice avant de me lancer dans la lecture de ce livre, alors qu’elle a pourtant déjà plusieurs romans à son actif. J’ai ainsi été d’abord attiré par le résumé proposé qui avait un petit côté SF-Thriller-Cyberpunk que j’apprécie beaucoup. Deux retours m’ont aussi très rapidement convaincu de le commencer, celui du Guardian et celui de Locus qui ne manquaient pas de s’avérer positifs. Concernant l’illustration de couverture, là par contre je dois bien admettre que j’ai du mal à accrocher, même si finalement elle répond à l’intrigue du livre j’avoue qu’elle me laisse assez froid.

Kabu Kabu – Nnedi Okorafor

Résumé : Au bord d’un pipe-line, une jeune femme joue de la guitare pour un zombie d’un genre particulier. Dans un village nigérian, deux soeurs investissent une maison que leurs parents ont fait construire mais qui, curieusement, n’est pas meublée. Au lieu de l’amener à l’aéroport, un chauffeur de kabu kabu, ces taxis clandestins qui hantent les rues de Lagos, emmène sa cliente au coeur des légendes africaines. Sur la côte de Calabar au début du vingtième siècle ou sur l’étrange planète Ginen, Arro-yo est une coureuse de vents, obligée de se battre pour exister malgré sa chevelure qui la désigne aux autres comme maudite.

Edition : Les Editions de l’Instant

Mon Avis : J’ai découvert Nnedi Okorafor il y a un peu plus d’un an maintenant avec son roman Qui a Peur de la Mort ?, qui m’avait offert un excellent moment de lecture. Il s’agissait d’un roman immersif, entraînant, percutant et intelligent, à la trame qui pouvait se révéler classique, mais offrait bien plus (ma chronique ici). Même si depuis j’ai lu le premier tome de Binti qui a eu du mal à complètement me convaincre, cela ne m’a pas empêché, lors des dernières Imaginales et ma rencontre avec l’autrice, de faire entrer son recueil de nouvelles dont j’avais entendu énormément de bien. Concernant la couverture, qui est une photographie de Katarzyna Wimanska, je trouve qu’elle attire le regard. Comme toujours avec les recueils de nouvelles, je vais faire un retour sur chacun des textes. À noter que ce livre a été lu en Lecture Commune avec Marie Juliet et Melcouettes.

Green Jay and Crow – DJ Daniels

Résumé : The half-forgotten streets of Barlewin, in the shadow of the High Track, are a good place to hide: among the aliens and the couriers, the robots and the doubles, where everyone has secrets.

Like Eva, a 3D-printed copy of another woman, built to be disposable.She should have disintegrated days ago… and she hasn’t.

And now her creator wants her back.

Edition : Abaddon

Mon Avis : Dernièrement, j’ai l’impression d’être dans ma phase découverte qui se font sur un coup de tête. En effet, comme ce fût le cas pour Bedfellow, que j’ai chroniqué il y a quelques jours, j’ai fais entré ce Green Jay and Crow dans ma PAL, un peu sans savoir clairement dans quoi je me lancer. J’ai été surtout rapidement intrigué par les différents messages que j’ai vu passer dans mes fils de réseaux sociaux, ou sur différent blogs qui présentent chaque mois les livres les plus intéressants à découvrir. J’ai ainsi été rapidement attiré par l’univers présenté dans le quatrième de couverture, par son côté assez bizarre et étrange, mais aussi, c’est vrai, par la couverture, illustrée par Pye Parr, que je trouve superbe.

Sumerki – Dmitry Glukhovsky

Résumé : Quand Dmitry Alexeïevitch, traducteur désargenté, insiste auprès de son agence pour obtenir un nouveau contrat, il ne se doute pas que sa vie en sera bouleversée. Le traducteur en charge du premier chapitre ne donnant plus de nouvelles, c’est un étrange texte qui lui échoit : le récit d’une expédition dans les forêts inexplorées du Yucatán au XVIe siècle, armée par le prêtre franciscain Diego de Landa. Et les chapitres lui en sont remis au compte-gouttes par un mystérieux commanditaire. Aussi, quand l’employé de l’agence est sauvagement assassiné et que les périls relatés dans le document s’immiscent dans son quotidien, Dmitry Alexeïevitch prend peur. Dans les ombres du passé, les dieux et les démons mayas se sont-ils acharnés à protéger un savoir interdit ? À moins, bien entendu, que le manuscrit espagnol ne lui ait fait perdre la raison. Alors que le monde autour de lui est ravagé par des ouragans, des séismes et des tsunamis, le temps est compté pour découvrir la vérité.

Edition : L’Atalante

Mon Avis : Dmitry Glukhovsky ne m’est pas un auteur inconnu, ayant déjà lu deux de ces romans. Je l’ai ainsi d’abord découvert avec Métro 2033 qui m’avait offert un bon moment de lecture avec un récit post-apocalyptique efficace et percutant (ma chronique ici). Ensuite, j’ai lu de l’auteur Futu.re que j’avais trouvé très bon avec sa vision de l’avenir proposée et les questions qu’il venait soulever, avec un protagoniste, anti-héros assez déroutant (ma chronique ). Concernant Sumerki, par contre, il a sans raison particulière un peu trainé dans ma PAL. Je trouvais le résumé différent des autres écrits de l’auteur et j’ai mis un peu de temps avant de me laisser tenter à le découvrir. Concernant la couverture, illustrée par Raphaël Defossez, je la trouve très sympathique.

Bedfellow – Jeremy C. Shipp

Résumé : When the . . . thing first insinuated itself into the Lund family household, they were bemused. Vaguely human-shaped, its constantly-changing cravings seemed disturbing, at first, but time and pressure have a way of normalizing the extreme. Wasn’t it always part of their lives?
As the family make more and greater sacrifices in service to the beast, the thrall that binds them begins to break down. Choices must be made. Prices must be paid. And the Lunds must pit their wits against a creature determined to never let them go.
It’s psychological warfare. Sanity is optional.

Edition : Tor

Mon Avis : Cette novella a clairement terminé dans ma PAL sur un coup de tête. C’est bien simple, avant de me lancer dans la lecture de Bedfellow je ne connaissais rien de l’auteur qui a quelques nouvelles et novella à son actif. C’est au moment de sa sortie, où j’ai vu passer différentes informations promotionnelles sur différents réseaux sociaux, que j’ai été titillé par ce livre. J’avoue qu’à ce moment que j’avais envie d’un peu de lectures pleines de frissons. Ajouter à un résumé intrigant et aussi à une couverture, illustrée par Greg Ruth, qui donnait envie, je l’ai donc fait rapidement entrer dans ma bibliothèque.

Chroniques du Pays des Mères – Elisabeth Vonarburg

Résumé : Au Pays des Mères, quelque part sur une Terre dévastée du futur en train de se remettre lentement, les hommes sont très rares. Seules les Captes des Familles – les Mères – font leur enfantes avec les Mâles. Les autres femmes doivent utiliser une forme hasardeuse d’insémination artificielle.
Lisbeï et Tula ne s’en soucient pas trop : filles de la Mère de Béthély, elles grandissent ensemble, sœurs et amies. Mais Lisbeï se révèle stérile ; ne pouvant être la Mère comme elle en avait rêvé, elle doit quitter Béthély, et Tula.
Devenue « exploratrice », elle accomplira un autre de ses rêves : découvrir les secrets du lointain passé du Pays des Mères. Mais certains rêves sont difficiles à vivre…

Edition : Alire

 

Mon Avis : Chroniques du Pays des Mères est un roman dont j’entends parler en très bien depuis un long moment déjà. Il m’a toujours été présenté comme un roman riche, complexe, intelligent et qui a marqué de nombreux lecteurs. Cela fait ainsi des années que je souhaite le découvrir, mais comme souvent quand on me recommande plus que chaudement un livre, limite chef d’œuvre pour de nombreux lecteurs, j’ai toujours un peu peur de passer à côté tant les attentes que j’ai alors sont assez élevées. Après de nombreux mois à trainer dans ma PAL, j’ai pourtant enfin décidé de lui laisser une chance et de le découvrir pour me faire mon propre avis. Concernant la couverture, illustrée par Sumo, elle a du mal à m’accrocher, me paraissant un peu vieillotte.

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