Après presque 4 ans d’absence, j’ai enfin décidé de prendre le temps de me poser et de tenter de relancer le blog. Me revoilà. Enfin presque. J’imagine déjà les déferlements de joie, les manifestations géantes pour fêter ce retour … Ou pas ^^
Plus sérieusement, oui, même si l’idée de base est de donner une nouvelle vie à ce blog, il va y avoir énormément de contraintes et d’interrogations qui vont conditionner ce redémarrage, qui pourrait tout aussi bien amener Blog-O-Livre vers un nouvel envol, comme ne jamais dépasser le stade de ce message.
Auteur/autrice : BlackWolf Page 1 of 201
Résumé : Jean McClellan est docteure en neurosciences. Elle a passé sa vie dans un laboratoire de recherches, loin des mouvements protestataires qui ont enflammé son pays. Mais, désormais, même si elle le voulait, impossible de s’exprimer : comme toutes les femmes, elle est condamnée à un silence forcé, limitée à un quota de 100 mots par jour. En effet, le nouveau gouvernement en place, constitué d’un groupe fondamentaliste, a décidé d’abattre la figure de la femme moderne. Pourtant, quand le frère du Président fait une attaque, Jean est appelée à la rescousse. La récompense ? La possibilité de s’affranchir – et sa fille avec elle – de son quota de mots. Mais ce qu’elle va découvrir alors qu’elle recouvre la parole pourrait bien la laisser définitivement sans voix…
Edition : Audible
Mon Avis : Vox est un roman qui a énormément fait parler de lui, profitant de la vague de popularité suite à La Servante Écarlate (et clairement annoncé par l’éditeur), le roman a connu un certain succès. J’ai ainsi vu passer de nombreux avis dessus en Anglais qui ont fait que je me suis dis qu’un jour je me laisserai tenter par ce dernier. Le résumé est en soit intéressant, mais j’avais un peu peur de tomber dans un redite du roman de Atwood. Profitant, il y a quelques mois, de nombreux déplacements, j’ai décidé de me laisser tenter par ce roman en audiobook. Concernant la narration de Gaëlle Savary je dois admettre que je suis un peu sur la réserve. Certes elle arrive à offrir au roman cette colère présente dans le roman. Pour autant j’ai trouvé qu’à chaque fois que la narratrice essaye de « jouer » un accent, elle offrait quelque-chose limite de plus dérangeant qu’entraînant. Certes j’ai connu pire, mais il vaut mieux parfois ne pas tenter de faire d’accent que d’aboutir à cette impression frustrante.
Résumé :Depuis le début des années 80, un programme ultra-secret de la marine américaine explore de multiples futurs potentiels. Lors de ces explorations, ses agents temporels ont situé le Terminus, la destruction de toute vie sur terre, au XXVIIe siècle.
En 1997, l’agent spécial Shannon Moss du NCIS reçoit au milieu de la nuit un appel du FBI : on la demande sur une scène de crime. Un homme aurait massacré sa famille avant de s’enfuir. Seule la fille aînée, Marian, 17 ans, serait vivante, mais reste portée disparue. Pourquoi contacter Moss?
Parce que le suspect, Patrick Mursult, a comme elle contemplé le Terminus… dont la date s’est brusquement rapprochée de plusieurs siècles.
Edition : Albin Michel Imaginaire
Mon Avis : J’entends parler de ce roman depuis un petit moment déjà, suite à de nombreux échos que j’avais vu et lu à droite et à gauche en anglais, qui s’avéraient plus que positif. J’ai d’ailleurs failli me laisser tenter en VO, mais apprenant que AMI allait le traduire, j’ai préféré attendre la VF. Il s’agit du premier roman de l’auteur en VF, je n’avais rien lu de lui avant de me lancer dans la lecture de ce Terminus, mais j’avoue que le résumé avait clairement quelque-chose d’intriguant et d’accrocheur. Je dois aussi admettre que je me lançais dans la lecture de ce récit, avec un minimum d’appréhension, la gestion du temps et des univers parallèles pouvant se révéler catastrophiques. Concernant la couverture, illustrée par Aurélien Police, je la trouve très réussie.
Résumé : Ils sont là parmi nous, jamais où tu regardes, à circuler dans les angles morts de la vision humaine. On les appelle les furtifs. Des fantômes ? Plutôt l’exact inverse : des êtres de chair et de sons, à la vitalité hors norme, qui métabolisent dans leur trajet aussi bien pierre, déchet, animal ou plante pour alimenter leurs métamorphoses incessantes.
Lorca Varèse, sociologue pour communes autogérées, et sa femme Sahar, proferrante dans la rue pour les enfants que l’éducation nationale, en faillite, a abandonnés, ont vu leur couple brisé par la disparition de leur fille unique de quatre ans, Tishka – volatilisée un matin, inexplicablement. Sahar ne parvient pas à faire son deuil alors que Lorca, convaincu que sa fille est partie avec les furtifs, intègre une unité clandestine de l’armée chargée de chasser ces animaux extraordinaires. Là, il va découvrir que ceux-ci naissent d’une mélodie fondamentale, le frisson, et ne peuvent être vus sans être aussitôt pétrifiés. Peu à peu il apprendra à apprivoiser leur puissance de vie et, ainsi, à la faire sienne.
Edition : La Volte
Mon Avis : Bon allez, cette fois je rattrape mon retard de chronique avec mon avis sur un gros, voir un très gros morceau. Il s’agit du roman Les Furtifs d’Alain Damasio qui, dire qu’il était attendu, est un doux euphémisme. En effet il a fallu attendre 15 ans entre la publication de son excellent et dernier roman, La Horde du Contrevent, et celui-ci. Certes, on a cru il y a quelques années voir sortir un autre roman de l’auteur, le tout dans une idée de développement transmédia, avec d’autres artistes, mais à la vue des informations, non-officielles je tiens à préciser, que j’ai vu passer à droite et à gauche, je crois que ce projet est enterré. C’est d’ailleurs dommage, car je me retrouve avec un premier chapitre dans une anthologie des Utopiales qui ne me sert complètement à rien. Mais revenons aux Furtifs, vu l’attente que j’avais concernant ce roman, en entendant parler régulièrement depuis des années et étant un très grand fan de la Horde, il est donc logique que je me sois rapidement précipité pour le découvrir. Concernant la couverture, on est clairement dans le même esprit des autres écrits de l’auteur publié chez l’éditeur, qui reste un bel objet, même si l’illustration a un peu de mal à me convaincre.
Résumé : Evelyn a vingt-cinq ans, un époux, une belle famille et un enfant de cinq ans.
Quand elle était jeune fille, elle avait la compagnie des forêts de l’Alaska, de la poésie de la nature et de Pan, un faune mystique.
Un jour, il disparut.
Elle n’aurait jamais cru que la créature irréelle surgirait à nouveau dans sa vie et agiterait en elle ces émotions fantasmatiques et sensuelles.
A mi-chemin entre la civilisation et la nature, sous le couvert des arbres glacés, Evelyn devra faire face à des choix terribles. Trouvera-t-elle son chemin dans l’ombre ?
Edition : Actu SF
Mon Avis : Allez, je continue à tenter de rattraper mes chroniques en retard, même si ce n’est pas obligatoirement facile, manquant quand même de motivation à chroniquer. Bon, vue que je manque de motivation pour lire ça compense, je ne prend pas trop de retard. Cette fois je vais vous parler du livre Le Dieu dans l’Ombre de Megan Lindholm plus connu sous le nom de Robin Hobb. J’avoue je ne connaissais pas trop ce roman de l’autrice, par conséquent quand on m’a proposé de le découvrir, j’ai rapidement accepté, surtout que le résumé différait quand même clairement des récits que je lis habituellement d’elle. À noter aussi la magnifique illustration de couverture de Lucian Stanculescu qui, je trouve, colle parfaitement bien au récit et donne envie.
Résumé : VIIIe siècle après Jésus-Christ : le culte de Mithra est devenu la religion officielle de l’Empire romain, et les autres cultes, dont celui de la petite secte chrétienne, sont férocement réprimés. Mais les mécontents s’agitent : peuples germaniques en révolte, Armoricains jaloux de leur autonomie, tribus helvètes bien décidées à interdire l’accès à leurs montagnes… À Vindossa – jardin d’Éden protégé du monde extérieur – Ygrène, une puissante magicienne, s’efforce de rassembler les ennemis de Rome. Il ne manque qu’une étincelle pour mettre le feu aux poudres, et elle viendra de Judith de Braffort, fille d’un noble armoricain, envoyée à Vindossa par un dieu assez mystérieux. À Rome pourtant, alors que les légions se mettent en marche pour écraser toute résistance, la vie continue, entre jeux du cirque et chasse aux hérétiques, complots politiques et menaces diverses.
Edition : Mnémos
Mon Avis : Je tenais, avant de me lancer dans ma chronique, à faire un point sur le blog. Vous l’avez peut-être constaté, mais depuis quelques semaines le blog est un peu en « pause ». En effet, ces derniers temps je me suis retrouvé pris par de nombreux aspects IRL qui ont fait que j’ai eu une légère panne de lecture et d’écriture. Je n’arrivais plus à me concentrer sur un livre et ne pouvait plus écrire tant j’avais l’impression de courir partout et ne plus trouver de motivation. Les choses s’étant un peu calmé, je recommence donc doucement à lire et je tente aussi par la même à reprendre l’écriture de chroniques. J’ai ainsi repris la lecture avec cette intégrale du cycle de Mithra. J’avoue, je n’avais pas envie de me lancer dans un récit trop complexe ou prise de tête et quand on m’a proposé de découvrir ce livre, je me suis dis qu’il pouvait correspondre à mes attentes, la référence à David Gemmell allant plutôt dans ce sens. A noter qu’avant de me lancer dans ce cycle, je n’avais rien lu de Rachel tanner. Concernant la couverture, illustrée par Qistina Khalidah, je la trouve franchement très réussie.