Les Machines Fantômes – Olivier Paquet

Résumé : Dans un monde où la société est devenue artificielle, les intelligences artificielles pourraient-elles faire société ?
Quatre personnages – un trader, une chanteuse pop, un ancien tireur d’élite, une joueuse de jeu vidéo multijoueurs : chacun croit jouer pleinement sa carte sur l’échiquier de la société sans percevoir qu’il est piégé dans des fictions confortables dont il n’est pas le seul acteur.
Plus un. Hans / Joachim dont ils croisent tous la route. Ce mystérieux jeune homme, tantôt séduisant, tantôt menaçant, est décidé à confier le destin de nos sociétés à des machines. Ce qui va contraindre nos personnages à coopérer, à se rencontrer pour empêcher l’irréversible.
Et des IA…

Edition : L’Atalante
Poche : L’Atalante poche

Mon Avis : Après avoir enfin réussi à lire un livre, j’ai décidé , pour ne pas perdre le rythme, de sortir un autre livre, cette fois de ma PAL. J’ai porté mon choix sur Les Machines Fantômes d’Olivier Paquet. J’ai toujours apprécié le travail l’auteur et je n’ai jamais été déçu par ses écrits. Pour autant je sais qu’il propose des récits assez denses et complexes ; cette lecture était donc un peu un « crash test » pour voir jusqu’où mon renouveau de lecture pouvait aller. Globalement, le retour est plus que positif, puisque j’ai terminé ma lecture de ce roman, certes en trois mois, mais j’en étais très satisfait. A noter qu’avec cette chronique, je tente une construction différente. J’ai beaucoup de mal à écrire des chroniques, me sentant coincé à remplir des « cases » selon un déroulé linéaire, je tente donc une présentation différente tout en tentant de ne pas trop être bordélique. Ce sera peut-être très court sur certains articles, parfois trop long sur d’autres, mais si je ne tente pas, je risque de ne plus écrire par manque d’envie et de plaisir.

Le Jeu de la Damnation – Clive Barker

Résumé : Joseph Whitehead est un vieux millionnaire au passé trouble. Un secret le hante depuis la seconde guerre mondiale. Depuis cette fameuse nuit où il fit la connaissance de Mamoulian, le joueur qui ne perd jamais. Et où, dans Varsovie à feu et à sang, ils s’affrontèrent le temps d’une partie dont nul ne sut l’enjeu ni l’issue. Mais aujourd’hui, Whitehead a peur. Car Mamoulian est de retour et, avec lui, les cauchemars et la mort. Joseph engage alors un garde du corps, Marty Strauss. Mais rien n’arrête Mamoulian. Quel fut le vainqueur de cette partie qui, à jamais, lia Whitehead au joueur de cartes ? Et surtout, qui est Mamoulian ?

Edition : Albin Michel
Poche : J’ai Lu

Mon avis : Il va être difficile d’écrire cette chronique. Non pas que mon ressenti concernant ce roman soit compliqué à retranscrire, mais je ne vais pas cacher que ce roman m’a replongé (certes très doucement) dans la lecture. Cela faisait des années que je regardais mes livres, tentait d’en démarrer un et n’arrivait à rien (faute à de multiple facteurs extérieurs). Puis est arrivé ce livre de Clive Barker, trouvé dans une boîte à livre, que j’ai réussi à finir. Sans qu’il me tombe des mains, sans râler, sans protester. C’était une petite victoire. Certes, il m’a bien fallu plus de deux mois pour le lire, mais à chaque fois que je replongeai dans ce livre c’était avec plaisir. Par conséquent Le Jeu de la Damnation aura un petit côté à part.

Dawnrunner – Ram V. & Evan Cagle

Résumé : Il y a un siècle, un portail s’est ouvert en Amérique Centrale.

Des monstres géants, les Tetzas, sont apparus à travers ce passage et ont changé le monde tel que les humains le connaissaient… pour toujours.

Anita Marr est la meilleure pilote d’Iron Kings, ces robots géants utilisés par les humains dans leur lutte contre les Tetzas. Sa vie bascule lorsqu’on lui propose de tester un tout nouveau prototype révolutionnaire…

Édition : Hi Comics

Mon Avis : On arrive donc à ma dernière lecture de comics scénarisé par Ram V. et ainsi à la fin du cycle de chroniques que j’avais entamé depuis début janvier. Après Toutes les morts de Laïla Starr, Blue in Green, Grafity’s Wall et Le Dernier Festin de Rubin je me lance dans ce Dawnrunner qui, je trouve, change un peu de formule. On abadonne l’Inde et le « fantastique » pour offrir un récit de Mechas et de Kaijus. Personnellement j’ai un petit faible pour les récit de Mechas et, dans une moindre mesure, de Kaijus. Mon adolescence a énormément été bercée par des Gundam, Escaflowne, Evangelion et même si je n’en ai pas lu depuis longtemps, j’avais hâte de voir ce qu’allait proposer nos auteurs avec ce type de récit.

Le Dernier Festin de Rubin – Ram V & Filipe Andrade

Résumé : Mohan l’avait pressenti dès leur première rencontre, ce Rubin Baksh ne lui disait rien qui vaille. Le simple fait de lui proposer plus d’argent pour se rencontrer qu’il n’en gagnait en un mois aurait dû lui mettre la puce à l’oreille. Mais la curiosité étant trop forte, et bien qu’il ait d’abord refusé sa proposition de l’accompagner sur les routes pour réaliser un documentaire culinaire, il finit par accepter. Cette quête de saveurs oubliées et cachées le mènera-t-elle, sans le savoir, au dernier festin de Rubin ?

Edition : Urban Comics

Mon Avis : On continue donc mes chroniques concernant les lectures des comics indépendants de Ram V. (donc hors grosse série MARVEL/DC). Il me reste, à date, deux chroniques à publier (celle-ci et Dawnrunner) et j’ai déjà publie mon avis sur Toutes les morts de Laïla Starr, Blue in Green et Grafity’s Wall. J’espère avoir bouclé ce « cycle » avant de démarrer le mois de septembre. C’est jouable, mais on ne sait jamais. Il me restera alors à lire These Savage Shores. J’espère le faire avant la fin de l’année. Mais revenons à ce comic, Le Dernier Festin de Rubin, porté par le même duo àa qui on doit Toutes les morts de Laïla Starr. J’avais pas mal d’attente concernant ce livre, déjà parce que j’avais bien aimé Laïla Starr et qu’ensuite un récit culinaire a toujours le don de me prendre par les sentiments. Que voulez-vous j’aime bien manger.

Grafity’s Wall – Ram V & Anand RK & Aditya Bidikar

Résumé : Mumbai. La ville indienne est comme une gigantesque fourmilière, en constante croissance, en perpétuelle évolution. Dans ses rues, creusant leur chemin à travers la vie, par le biais des murs et de la peinture, quatre adolescents y cherchent leur place, et les clefs de l’âge vers l’âge adulte, dans un monde où il est de plus en plus dur de s’intégrer, de se connaître soi-même et de s’accepter.

Edition : Urban Comics

Mon Avis : On reste dans la lignée de mes précédentes chroniques, puisque je continue ma découverte des comics « indépendants » de Ram V. Ainsi après ma lecture de Toutes les Morts de Laïla Starr qui, sans être parfait, m’avait donnée envie d’en découvrir plus de Ram V. (ma chronique ici). Puis ma lecture de Blue in Green, qui m’avait bien accroché avec un récit plus sombre et intimiste (ma chronique ). Je vous propose aujourd’hui mon retour sur Grafity’s Wall. J’avoue j’avais hâte de voir ce qu’allait proposer l’auteur ici, principalement dans son univers ainsi que dans sa représentation de Mumbai, déjà présent de façon accrocheuse en toile de fond dans Laïla Starr.

Blue in Green – Ram V & Anand RK & John Pearson & Aditya Bidikar & Tom Muller

Résumé : Jeune prodige du saxophone, Erik Dieter n’a jamais percé et enseigne la musique, loin de sa famille et de ses ambitions passées. De retour dans la maison de son enfance suite à la mort tragique de sa mère, il tombe sur une vieille photographie d’un musicien de jazz dans d’étranges circonstances, et sa vie bascule. Désormais, Erik n’a plus qu’une idée en tête : découvrir l’identité de ce mystérieux saxophoniste. Mais cette quête réveille en lui les démons de son ambition… De clubs de jazz en révélations sur le passé de sa mère, Erik sombre peu à peu dans la folie, obsédé par la poursuite du génie créatif et de la reconnaissance… jusqu’à y laisser son âme ?

Edition : Hi Comics

Mon Avis : Je continue mes chroniques des Comics « indépendants » de Ram V. En effet, après ma lecture de Toutes les Morts de Laïla Starr, qui, loin d’être parfait, ne manquait quand même pas d’attraits et m’avait offert un bon moment de lecture, j’avais envie de découvrir un peu plus de la bibliographie de l’auteur. Bien entendu on reste toujours hors univers les plus connus de Marvel/DC qui, sauf exception, n’a jamais réussi à me donner envie de plonger dedans parce que trop « imposants ». Ceci n’est pas une critique de ces univers, je comprends parfaitement qu’ils plaisent, tout simplement je ne pense pas (ou plus) en être un lecteur possible. Je peux me tromper. Mais revenons à cette chronique et il est à noter que mes avis sur les livres de Ram V seront publiés par ordre de lecture et non par ordre de publication, c’est plus logique à mes yeux. A noter aussi que ce comics me tentait aussi par son côté jazz qui m’intéresse toujours et que cette chronique devait sortir il ya des mois déjà ^^.

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