Résumé : Perdu dans les brumes de l’opium du lotus et du souvenir, Sylvo Sylvain pensait que tout était fini. Il se trompait.
Dans un Panam dévasté par la guerre civile, Pix et Le Bras viennent le tirer de la fumerie où il s’était réfugié car la nouvelle Médiane, celle qui lui est si précieuse, celle qui pourrait sauver la Forêt, a été enlevée. Toujours-Verte a un besoin vital de lui.

Edition : Mnémos

 

Mon Avis : Il y a un peu plus de six ans maintenant, je découvrais un peu par hasard le premier tome de cette série. En effet j’avais été convaincu de me laisser tenter par ce cycle grâce ma rencontre avec l’auteur aux Imaginales, mais aussi par l’illustration de couverture de ce Rue Farfadet qui attirait le regard. Je suis bien content de m’être laissé tenter car, depuis, aucun des trois tomes publiés ne m’a déçu, m’offrant toujours de bons moments de lecture (chronique du Tome 1, Tome 2, Tome 3). Par conséquent quand j’ai vu que le quatrième et dernier tome de cette série allait être publié et qu’on m’a proposé de le découvrir, je n’ai pas hésité longtemps avant de me laisser tenter. Concernant la couverture, elle change d’illustrateur, cette dernière étant d’Emile Denis là où les trois premières étaient d’Aurélien Police, et même si je la trouve très sympathique elle ne retrouve pas ce côté éthéré et onirique que proposaient les premières. Par contre il risque d’avoir quelques spoilers sur les premiers tomes dans ma chronique.